Une immersion haute en couleur à la Paris Games Week 2025

Actualité publiée le 4 November 2025

Le salon Paris Games Week (PGW) s’est tenu du 30 octobre au 2 novembre 2025 au Paris Expo – Porte de Versailles. Cette édition, très attendue, a confirmé que l’événement restait une référence incontournable pour les passionnés de jeux vidéo, les studios, les créateurs indépendants et les écoles du numérique. Plus qu’un simple salon, la PGW 2025 s’est imposée comme une véritable célébration du jeu sous toutes ses formes.

 

 

 

Une édition repensée et ambitieuse

 

 

Cette année, l’organisation a misé sur la nouveauté. L’événement proposait pour la première fois des « Night Sessions » les jeudi, vendredi et samedi soir, permettant aux visiteurs de prolonger l’expérience avec des concerts, des tournois et des shows immersifs.
L’espace a été repensé pour offrir une meilleure lisibilité : zones thématiques dédiées au e-sport, à la réalité virtuelle, aux jeux indépendants ou encore aux expériences familiales. Cette segmentation a facilité la découverte de nouveaux contenus, tout en conservant l’âme festive du salon.

 

L’e-sport a, sans surprise, occupé une place majeure avec des compétitions nationales et internationales, des rencontres avec des équipes professionnelles et une ambiance de stade qui faisait vibrer les halls. Cette dimension compétitive, couplée à la diversité du contenu, a contribué à donner au salon un souffle nouveau.

 

 

Des temps forts marquants

 

Plusieurs moments ont rythmé ces quatre jours.
Le duo Bigflo & Oli, invités spéciaux, ont asssuré un concert-événement qui a réuni fans de musique et gamers dans une ambiance survoltée. Avec des guest comme Squeezie qui a fait son grand retour après s’être fait bannir de la PGW. Il a fait l’avant-première et l’ouverture cette année. Il y avait aussi des influenceurs comme Inoxtag qui était présent dans la fan zone by Orange pour affronter des abonnés en 1 vs 1.  Côté éditeurs, les grands noms étaient bien présents : Capcom, Nintendo, Ubisoft ou encore Bandai Namco ont présenté des démos exclusives de leurs prochains titres, créant des files d’attente impressionnantes.

Les zones dédiées aux jeux indépendants ont également attiré l’attention. De nombreux studios français et européens y ont présenté leurs prototypes, prouvant une nouvelle fois la vitalité de la scène créative émergente.

 

Entre deux stands, les visiteurs pouvaient aussi participer à des ateliers, tester des périphériques de nouvelle génération, ou s’initier à la création vidéoludique à travers des démonstrations techniques. La PGW n’était pas qu’un espace d’exposition : c’était une expérience à vivre, à manipuler, à ressentir.

 

 

Une ambiance électrique et conviviale

 

L’atmosphère générale respirait la passion.
Les allées mêlaient familles, joueurs occasionnels, cosplayers et professionnels du secteur. L’énergie du salon venait autant des grandes scènes que des coins plus calmes, où des passionnés présentaient leurs projets avec un enthousiasme contagieux.
L’e-sport donnait le ton : lumières, écrans géants, cris du public… Le jeu devenait spectacle, le spectacle devenait communauté.

 

Malgré la foule, le sentiment dominant restait celui d’une grande réunion entre créateurs et joueurs. Le salon a réussi à trouver un équilibre entre démesure et proximité, entre innovation technologique et chaleur humaine.

 

 

Le stand de l’ICAN : créativité, talent étudiant et alumni

 

L’école de design numérique y présentait les projets de ses étudiants, mêlant game design, UX, UI et conception d’expériences interactives. Sur place, les visiteurs pouvaient tester des prototypes de jeux, des interfaces innovantes et des expériences immersives conçues dans le cadre des formations de l’école. Il y avait les ambassadeurs de l’ICAN qui représentaient et présentaient l’école aux visiteurs.

 

Ce stand symbolisait la philosophie de l’ICAN : apprendre en créant, expérimenter en collaborant, concevoir des expériences centrées sur l’utilisateur. Les étudiants expliquaient eux-mêmes leurs démarches, partageant avec le public les étapes de conception, les choix artistiques et les contraintes techniques.

Leur passion, palpable, traduisait la qualité de la pédagogie : une formation qui relie créativité, technologie et réflexion sur l’expérience utilisateur.

Cette présence à la PGW témoignait aussi de la place croissante des écoles dans l’écosystème vidéoludique. En présentant leurs projets, les étudiants de l’ICAN ont prouvé que la relève du design numérique français est bien en marche.

 

 

Une vitrine du jeu comme culture vivante

 

 

La Paris Games Week 2025 a confirmé que le jeu vidéo n’est plus un simple loisir, mais un vecteur culturel majeur. Le mélange entre gaming, pop culture, art numérique et apprentissage a offert une vision plus globale du secteur.
Les visiteurs ont pu mesurer l’étendue de ce que représente le jeu aujourd’hui : un espace d’innovation, de narration, d’émotion et de lien social.

 

Cette édition a également mis en avant l’importance de la formation. Les écoles, studios et organismes présents ont rappelé que les métiers du jeu vidéo sont multiples : design, animation, code, communication, sound design, ou encore psychologie de l’utilisateur. L’ICAN, en exposant ses projets, a illustré cette transversalité et démontré comment la créativité étudiante peut s’inscrire dans les réalités professionnelles du secteur.

 

 

Ce que cette édition laisse présager

 

La PGW 2025 ouvre une nouvelle phase pour le salon. Moins tournée vers la simple démonstration produit, elle devient un lieu d’échange et de transmission.

Les visiteurs repartent avec des images, certes, mais surtout des idées : la façon dont le jeu influence nos modes d’apprentissage, nos relations sociales, et même notre manière de concevoir le futur numérique.

 

Pour les étudiants, c’était une opportunité précieuse : confronter leurs créations à un public exigeant, recueillir des retours, tisser des liens avec des professionnels.

Pour les écoles comme l’ICAN, c’est la preuve que leur travail de formation trouve un écho réel sur le terrain : leurs projets inspirent, questionnent, innovent.

 

La Paris Games Week 2025 a tenu ses promesses : riche, intense, inclusive. Elle a célébré la diversité du jeu vidéo et son impact sur la culture contemporaine.

Entre les grands studios, les indépendants, les créateurs de contenu et les écoles, elle a montré un écosystème uni par la même passion : créer, jouer, transmettre.

Le stand de l’ICAN, au cœur de cet univers foisonnant, a rappelé que derrière chaque innovation, il y a des esprits curieux et formés, prêts à imaginer les expériences interactives de demain.

 

Cette édition laisse une impression claire : le jeu vidéo continue de grandir, et avec lui, toute une génération de créateurs qui transforment l’expérience numérique en art vivant.

 

Robot Mascotte ICAN

Cette école fait partie du groupe Réseau GES
Établissement d'Enseignement Supérieur Privé
Dernière mise à jour : Septembre 2025

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