ZEvent 2025 : quand la création numérique prouve qu’elle peut changer le réel

Actualité publiée le 15 October 2025

Chaque année, il y a ce moment où Internet semble respirer à l’unisson. Pendant quelques jours, les écrans cessent d’être seulement des vitrines de divertissement pour devenir des leviers d’action. Ce moment, c’est le ZEvent, un marathon caritatif né de l’énergie de la communauté gaming et créative francophone.
L’édition 2025, tenue début septembre, a une fois de plus redéfini les frontières entre création numérique, solidarité et engagement collectif.

 

 

 

 

 

Un événement qui dépasse le streaming

 

À première vue, le ZEvent ressemble à un festival du jeu vidéo en ligne : des créateurs de contenu, des défis en continu, des spectateurs qui donnent en direct. Mais sa nature est bien plus large. Ce qui s’y joue, c’est la preuve qu’un média né du loisir peut devenir un acteur social majeur.

 

Cette année, plus de 70 streamers francophones ont uni leurs audiences pour soutenir huit associations centrées sur la santé, les enfants et l’accompagnement des aidants. En trois jours, plus de 16 millions d’euros ont été récoltés. Un chiffre impressionnant, mais le plus intéressant est ailleurs : dans la façon dont cet argent a été mobilisé.

Le ZEvent 2025 a rassemblé plusieurs millions de spectateurs uniques, une dynamique virale sur les réseaux sociaux, et surtout un ton profondément humain : rires, larmes, fatigue, euphorie collective. Le numérique a rarement semblé aussi vivant.

 

 

Une mécanique bien rodée, portée par l’émotion

 

Le principe reste le même : chaque participant anime son propre live sur Twitch, tout en partageant un lien commun de dons. Des “paliers” jalonnent la progression : pour chaque montant atteint, le streamer se lance un défi, chanson, déguisement, challenge sportif, moment absurde ou touchant.

Ce jeu d’équilibre entre sincérité et spectacle fait la force du ZEvent. L’audience ne donne pas seulement pour la cause ; elle participe à une narration partagée, une histoire en temps réel.

 

Ce qui distingue cette édition, c’est la maturité du ton. Les créateurs ont appris à parler des causes avec précision et respect, sans tomber dans la posture. Le streaming devient un espace d’éducation douce, d’empathie.

Et pour la première fois, une partie du dispositif s’est tenue en mode hybride : certains participants sur place à Montpellier, d’autres en ligne depuis leurs studios. Une façon de rendre le format plus accessible, moins centralisé, plus représentatif du paysage numérique actuel.

 

 

Des retombées concrètes et structurelles

 

Les dons collectés vont financer des programmes bien identifiés : accompagnement des enfants hospitalisés, soutien psychologique, recherche médicale, aide aux aidants. Mais au-delà de l’argent, les retombées les plus durables sont culturelles.

 

Le ZEvent change la perception du numérique dans la société française. Là où le streaming était encore, il y a peu, associé au divertissement pur ou à la performance, il devient aujourd’hui un outil d’engagement citoyen.

Les médias généralistes le reprennent, les associations découvrent un nouveau canal de communication, et des jeunes spectateurs prennent conscience que la culture digitale peut être un moteur d’action collective.

 

C’est aussi un terrain d’expérimentation pour la communication associative. L’événement montre comment une narration participative, spontanée et interactive peut mobiliser plus efficacement qu’une campagne classique. En cela, il influence déjà la façon dont le monde caritatif pense son rapport au public.

 

 

La face humaine : entre fatigue et fraternité

 

Derrière les chiffres et les projecteurs, il y a des visages épuisés, des voix cassées, des rires nerveux à quatre heures du matin. Les streamers parlent souvent du ZEvent comme d’un marathon émotionnel : 72 heures de concentration, de partage et de vulnérabilité.

Cette dimension humaine contribue à sa puissance. On n’y voit pas des influenceurs surjouant la générosité, mais des créateurs imparfaits, sincères, soudés par un objectif commun. C’est cette authenticité, rarement présente dans les grands shows médiatiques, qui fédère le public.

 

 

Le ZEvent, une illustration concrète de la création numérique et des valeurs de l’ICAN

 

Cet événement n’est pas qu’un phénomène d’Internet : c’est un miroir de la culture numérique émergente, celle que des écoles comme l’ICAN contribuent à former.

Là où le Showcase de l’ICAN expose la créativité, la recherche d’équilibre entre esthétique, technique et sens, le ZEvent en montre la mise en mouvement dans le monde réel.

Les deux partagent une même conviction : le numérique est une matière vivante, faite pour relier, raconter, engager.

Pour les étudiants en design, en animation, en UX ou en jeu vidéo, le ZEvent est un cas d’école d’expérience utilisateur globale. Tout y est : interactivité, storytelling, immersion, émotion partagée.

Chaque donation goal, chaque scène improvisée, chaque interface de collecte illustre ce que l’ICAN enseigne au quotidien : concevoir des expériences où l’humain reste au centre.

 

Le parallèle est clair : le Showcase révèle la promesse du numérique créatif ; le ZEvent en démontre la puissance concrète.
L’un montre les talents en devenir, l’autre prouve ce qu’ils peuvent accomplir quand la création s’allie à la solidarité.

 

 

Ce que le ZEvent révèle du numérique français

 

Le succès du ZEvent 2025 traduit une évolution plus large : la maturité du paysage créatif en ligne.
Les communautés ne se contentent plus de consommer du contenu, elles le co-construisent. Les créateurs ne se perçoivent plus comme des divertisseurs isolés, mais comme des acteurs d’un tissu social élargi.

Et l’audience découvre qu’un clic peut avoir un poids réel, qu’une émotion partagée peut se transformer en action mesurable.

Cette édition laisse aussi une question ouverte : comment faire durer cet élan ? Comment transformer un week-end de dons en un engagement suivi ? Plusieurs associations partenaires ont déjà prévu des collaborations à long terme avec les créateurs les plus impliqués.
C’est peut-être là la prochaine étape du ZEvent : devenir non plus un pic d’énergie annuel, mais une culture continue du don connecté.

 

 

L’énergie créative comme moteur commun

 

Au fond, le ZEvent et l’ICAN parlent du même moteur : l’énergie créative collective.
Chez les uns, elle s’exprime par des prototypes, des interfaces et des films d’animation.
Chez les autres, par des streams, des rires, des dons et des défis.

Mais dans les deux cas, il s’agit de réinventer le rapport entre humain et technologie, d’utiliser les outils numériques pour produire du lien plutôt que du bruit.

Cette édition 2025 aura prouvé une chose : le web n’est pas condamné à la distraction. Il peut être un lieu de transformation.
Et pour les nouvelles générations de créateurs, qu’ils sortent d’une école comme l’ICAN ou d’un salon Discord, c’est un message inspirant : le numérique, bien pensé, peut encore faire battre le cœur du monde.

 

Le Showcase de l’ICAN : 3e édition

Actualité publiée le 8 October 2025

Chaque année, l’ICAN (Institut de Création et d’Animation Numériques) transforme ses couloirs en véritable galerie vivante. Le Showcase de l’ICAN n’est pas un salon classique : c’est la vitrine de tout un écosystème créatif. Étudiants, enseignants, partenaires et alumni s’y retrouvent pour célébrer ce que le numérique peut produire de plus audacieux : des expériences interactives, des prototypes de jeux vidéo, des interfaces immersives, des films d’animation, des univers 3D ou des dispositifs UX inédits.

 

 

 

 

 

Pour l’école, cet événement est devenu un moment de vérité. Il ne s’agit pas seulement de montrer des projets d’étudiants, mais d’exposer la philosophie ICAN : apprendre en créant, créer en expérimentant. Chaque stand, chaque installation raconte des mois de recherche, de tâtonnements et de réussites. C’est ici que les compétences prennent corps, que la théorie devient expérience.

 

 

Un rendez-vous structuré comme un parcours d’exploration

 

Le Showcase 2025, tenu au sein du campus Ranelagh à Paris le 26 septembre, s’est déroulé comme une exposition itinérante. Le visiteur passe d’un stand à l’autre, découvrant les différentes spécialités de l’école : Game Design, Animation 3D, UX/UI Design, Design interactif et Création numérique.

Chacun de ces stands à sa propre atmosphère. On pouvait y retrouver des jeux de FPS faits par nos étudiants, des jeux comme KILL DEM’ON, AZOG VS ZAMBIES ou encore des jeux de société.

Le Showcase n’est pas figé. Des démonstrations en direct, des pitchs rapides et des projections rythment la journée. Les étudiants présentent leur projet à un public qui réagit, questionne, teste. L’interaction devient partie intégrante de la démonstration : l’événement vit au même rythme que les créations qu’il expose.

 

 

Une passerelle entre l’école et le monde professionnel

 

Pour les partenaires et recruteurs, le Showcase de l’ICAN est une fenêtre sur la relève.
Les entreprises du jeu vidéo, du web design, de la 3D ou de la communication visuelle viennent y repérer de futurs talents. Mais l’intérêt dépasse le simple recrutement : c’est aussi l’occasion d’observer les tendances qui émergent dans la formation.
Les projets étudiants révèlent souvent avant l’heure les mutations du secteur : nouvelles esthétiques, nouveaux usages, nouveaux outils de conception.

 

L’école cultive cette dimension de passerelle. Les partenariats industriels noués tout au long de l’année trouvent ici leur aboutissement et les tuteurs qui voient le travail de leurs alternants. Les marques ayant collaboré sur des projets pédagogiques viennent constater les résultats.

Cette collaboration entre pédagogie et entreprise illustre une conviction chère à l’ICAN : le design numérique se nourrit du dialogue entre la curiosité académique et les besoins concrets du marché.

 

 

Un tremplin symbolique pour les étudiants

 

Pour les étudiants, cet événement marque la fin d’un cycle et le début d’une reconnaissance.
C’est la première fois que leurs travaux quittent la salle de classe pour rencontrer un public réel.
Ils apprennent à défendre une idée, argumenter un choix visuel ou ergonomique, écouter les retours. Beaucoup parlent de ce moment comme d’un “baptême du feu” : la confrontation au regard extérieur donne de la densité à leur démarche.

 

Certains projets présentés lors Showcase deviennent ensuite des prototypes développés plus loin : courts-métrages en festival, jeux indépendants mis en ligne, sites expérimentaux. Le Showcase agit donc comme un tremplin professionnel, mais aussi comme un rite de passage créatif : l’instant où le créateur se révèle au-delà de l’étudiant.

 

 

Une expérience collective avant tout

 

Ce qui distingue le Showcase, c’est l’énergie collective qui s’en dégage.
L’événement mobilise toute la communauté ICAN : les enseignants accompagnent, les étudiants des promotions précédentes viennent soutenir, les visiteurs échangent librement.
On y retrouve une atmosphère d’atelier, presque artisanale, au cœur d’un univers technologique.

 

L’école insiste sur cette dimension humaine : la création numérique, aussi complexe soit-elle, reste une aventure de groupe. Les projets exposés ne sont pas que des prouesses techniques : ce sont des histoires de collaboration, de confiance, de compromis.
C’est cette culture du collectif qui donne au Showcase son authenticité, et qui, souvent, impressionne les professionnels extérieurs.

 

 

Une vitrine, un signal, une promesse

 

Au-delà de l’exposition, ce moment incarne l’ambition d’une école tournée vers l’avenir.
Pour les étudiants, c’est la preuve qu’ils appartiennent déjà au monde professionnel.
Pour les enseignants, c’est la validation d’une pédagogie fondée sur la pratique, l’expérimentation et la transversalité.
Et pour les partenaires, c’est le signe qu’une nouvelle génération de designers émerge : plus consciente, plus curieuse, plus ouverte.

 

Le Showcase de l’ICAN n’est donc pas qu’un événement : c’est un manifeste vivant pour la création numérique française. Un moment où les idées prennent forme, où les talents se révèlent, où la passion devient métier.

 

Les Indie Game Awards reviennent en décembre : Appel à candidature

Actualité publiée le 1 October 2025

Les tant attendus Indie Game Awards sont de retour cette année ! Prévue pour décembre, cette célébration des meilleurs jeux indépendants promet d’être un événement incontournable pour les créateurs, les développeurs et les passionnés du monde du jeu vidéo. L’ICAN, partenaire engagé dans l’innovation et la créativité dans l’industrie du jeu vidéo, invite d’ores et déjà tous les studios indépendants à soumettre leurs jeux et à faire briller leur talent lors de cette compétition prestigieuse. 

 

 

Les tant attendus Indie Game Awards sont de retour cette année ! Prévue pour décembre, cette célébration des meilleurs jeux indépendants promet d’être un événement incontournable pour les créateurs, les développeurs et les passionnés du monde du jeu vidéo. L’ICAN, partenaire engagé dans l’innovation et la créativité dans l’industrie du jeu vidéo, invite d’ores et déjà tous les studios indépendants à soumettre leurs jeux et à faire briller leur talent lors de cette compétition prestigieuse. 

 

 

Qu’est-ce que les Indie Game Awards ? 

 

Les Indie Game Awards sont un événement annuel célébrant l’excellence et l’innovation des jeux vidéo indépendants. Ces prix, qui se tiennent depuis plusieurs années, visent à mettre en lumière les jeux qui se distinguent par leur originalité, leur gameplay innovant et leur capacité à captiver les joueurs. Ils offrent aux créateurs de jeux indépendants une occasion unique de se faire connaître, de valoriser leur travail et d’accéder à une visibilité accrue dans l’industrie. 

 

 

Un appel à candidatures ouvert à tous 

 

L’appel à candidatures pour les Indie Game Awards est officiellement lancé, et tous les développeurs de jeux vidéo indépendants sont invités à soumettre leurs créations. Que vous soyez un studio émergent ou un créateur solo passionné, cet appel à candidature est l’opportunité de présenter votre travail au monde entier et de figurer parmi les meilleurs de la scène indépendante. 

 

Les jeux soumis seront évalués sur plusieurs critères, notamment l’originalité du concept, la qualité de la réalisation, l’innovation du gameplay et la réception par la communauté des joueurs. L’objectif est de récompenser non seulement la qualité artistique et technique, mais aussi l’impact que le jeu peut avoir sur les joueurs et l’industrie en général. 

 

 

Pourquoi participer ? 

 

Participer aux Indie Game Awards peut être un véritable tremplin pour un studio de jeu vidéo indépendant. Voici quelques avantages clés à soumettre votre jeu à cette compétition : 

 

  • Visibilité accrue : Les Indie Game Awards sont suivis par une large communauté de professionnels du jeu vidéo, ainsi que par un public passionné. La reconnaissance de vos pairs et la couverture médiatique qui en découleront peuvent considérablement accroître la visibilité de votre jeu. 

 

  • Réseautage et opportunités : En plus de la compétition, les Indie Game Awards sont un lieu de rencontre pour les créateurs, les investisseurs et les distributeurs. Participer à cet événement peut ouvrir la porte à des partenariats stratégiques et des collaborations intéressantes. 

 

  • Reconnaissance professionnelle : Gagner un prix aux Indie Game Awards est une validation précieuse de la qualité de votre travail. Cela peut également renforcer la crédibilité de votre studio et offrir des perspectives de développement futur. 

 

  • Inspiration et motivation : Participer à une compétition de cette envergure est une source d’inspiration et de motivation pour continuer à repousser les limites de la création vidéoludique. Être en compétition avec d’autres talents de l’industrie est une expérience qui enrichit et fait grandir tout créateur. 

 

Comment soumettre votre jeu ? 

 

Les candidatures pour les Indie Game Awards sont ouvertes en ligne et accessibles à tous les développeurs indépendants. Pour participer, il vous suffit de suivre ces étapes simples : 

 

  1. Créez un compte : Rendez-vous sur le site officiel des Indie Game Awards et créez un compte pour pouvoir soumettre votre jeu. 
  1. Soumettez votre jeu : Téléchargez votre jeu et remplissez les informations nécessaires concernant sa description, son gameplay, et ses caractéristiques techniques. 
  1. Suivez les critères : Assurez-vous que votre jeu respecte les critères de sélection, notamment en matière de plateforme, de durée de vie et de fonctionnalités. 
  1. Soumettez votre candidature : Une fois votre jeu téléchargé et les informations complètes, vous pourrez soumettre votre candidature avant la date limite. Assurez-vous de respecter les délais pour garantir votre participation. 

 

Les catégories des Indie Game Awards 

 

Les Indie Game Awards sont divisés en plusieurs catégories pour récompenser la diversité des créations indépendantes. Voici les principales catégories dans lesquelles les jeux peuvent être inscrits : 

 

  • Meilleur jeu de l’année : Le prix le plus prestigieux qui récompense le jeu indépendant le plus innovant et le plus captivant de l’année. 

 

  • Meilleure direction artistique : Pour le jeu qui se distingue par son style graphique unique et son ambiance visuelle. 

 

  • Meilleur gameplay : Le prix du jeu le plus agréable à jouer, offrant une expérience fluide et immersive. 

 

  • Meilleur scénario : Récompense le jeu avec l’histoire la plus originale et captivante. 

 

  • Prix de l’innovation : Destiné à récompenser les jeux qui repoussent les limites du genre et introduisent de nouvelles mécaniques. 

 

Quand et où se déroulera l’événement ? 

 

L’événement des Indie Game Awards aura lieu en décembre, dans un format hybride, mêlant physique et numérique. Il s’agira d’un moment fort pour les développeurs, les journalistes, et les passionnés de jeux vidéo. Plus de détails sur le lieu précis et la date exacte de la cérémonie seront bientôt disponibles, alors restez connectés ! 

 

 

Les Indie Game Awards représentent une occasion inédite pour les développeurs indépendants de montrer leur travail, de gagner en reconnaissance et d’étendre leur réseau. C’est un moment de célébration de la créativité, de l’innovation et de l’audace des créateurs de jeux vidéo du monde entier. Si vous êtes un développeur indépendant, ne manquez pas cette chance unique de vous faire connaître. Soumettez votre jeu dès maintenant et préparez-vous à briller sous les projecteurs ! 

Six annonces majeures de Pullup Entertainment à la Gamescom 2025

Actualité publiée le 24 September 2025

Pullup Entertainment, un acteur incontournable de l’industrie du jeu vidéo, a marqué l’édition 2025 de la Gamescom avec plusieurs annonces qui ont secoué la scène du gaming. Ce studio reconnu pour sa créativité, son innovation et ses projets ambitieux, a présenté six nouvelles révélations qui promettent de redéfinir l’expérience vidéoludique pour les années à venir. Du teasing de nouveaux titres à des mises à jour révolutionnaires de jeux existants, les annonces de Pullup Entertainment ont captivé l’attention des joueurs, des professionnels et des fans présents à l’événement. Retour sur ces moments forts de la Gamescom 2025. 

 

 

Pullup Entertainment, un acteur incontournable de l’industrie du jeu vidéo, a marqué l’édition 2025 de la Gamescom avec plusieurs annonces qui ont secoué la scène du gaming. Ce studio reconnu pour sa créativité, son innovation et ses projets ambitieux, a présenté six nouvelles révélations qui promettent de redéfinir l’expérience vidéoludique pour les années à venir. Du teasing de nouveaux titres à des mises à jour révolutionnaires de jeux existants, les annonces de Pullup Entertainment ont captivé l’attention des joueurs, des professionnels et des fans présents à l’événement. Retour sur ces moments forts de la Gamescom 2025. 

 

 

  1. Un nouveau jeu d’aventure en monde ouvert : “Elysium’s End”

 

La première annonce de Pullup Entertainment a été un véritable coup de maître : l’introduction de leur prochain jeu “Elysium’s End”. Un jeu d’aventure en monde ouvert, où les joueurs devront naviguer à travers un univers richement détaillé, habité par des civilisations perdues et des créatures mythologiques. Ce projet ambitieux s’annonce comme un mélange entre exploration, puzzle et narration interactive. 

 

Elysium’s End se distingue par son système de jeu non linéaire, permettant aux joueurs de façonner l’histoire en fonction de leurs choix, un aspect qui promet de réinventer le genre de l’aventure en monde ouvert. Le gameplay, axé sur la résolution d’énigmes et l’interaction avec l’environnement, permettra aux joueurs d’explorer un vaste monde rempli de secrets à découvrir. Le visuel, quant à lui, se veut somptueux, avec des décors dignes des plus grandes productions cinématographiques. 

 

  1. Mise à jour majeure pour “Shadow of the Fallen” : Le mode coopératif enfin disponible

 

Parmi les autres grandes annonces de Pullup Entertainment à la Gamescom 2025, l’attente était grande pour une mise à jour de “Shadow of the Fallen”, l’un de leurs titres les plus acclamés. Et les fans n’ont pas été déçus ! Le studio a annoncé l’intégration d’un mode coopératif tant attendu, permettant désormais à plusieurs joueurs de s’allier pour affronter les ennemis et les défis de ce monde post-apocalyptique. 

 

Cette mise à jour apporte également des améliorations graphiques et une révision complète du système de combat, avec l’ajout de nouvelles compétences et mécaniques de jeu. Cette évolution positionne Shadow of the Fallen comme l’un des jeux les plus excitants pour les fans de jeux d’action et d’aventure, offrant une nouvelle dimension à l’expérience de jeu en équipe. 

 

  1. “Stellar Drift” se lance dans l’arène des jeux de simulation spatiale

 

Les fans de simulation spatiale ont eu de quoi se réjouir lors de la présentation de “Stellar Drift”. Ce jeu, qui plonge les joueurs dans l’infinité de l’espace, promet une expérience de simulation réaliste, mêlant exploration de galaxies lointaines, gestion de vaisseaux et interactions avec des civilisations extraterrestres. Stellar Drift est conçu pour offrir un gameplay où chaque décision compte, avec des mécaniques profondes de gestion de ressources et de combat spatial. 

 

Lors de la Gamescom 2025, Pullup Entertainment a révélé des détails concernant le mode multijoueur du jeu, permettant aux joueurs de former des alliances, de participer à des batailles épiques et d’explorer l’univers ensemble. L’accent est mis sur la liberté totale offerte aux joueurs dans la façon dont ils choisissent de naviguer et d’interagir avec l’univers, qu’il s’agisse de commercer, d’explorer ou de s’engager dans des missions risquées. 

 

  1. Le retour de “Phantom Legion” avec une campagne solo remaniée

 

“Phantom Legion”, un titre d’action-stratégie très apprécié, fait son grand retour avec une campagne solo remaniée. Cette annonce a créé un véritable engouement à la Gamescom 2025. Le jeu, qui mélange stratégie en temps réel et combat tactique, introduit une toute nouvelle série de missions solo, offrant une immersion encore plus profonde dans son univers riche et détaillé. 

 

Les développeurs ont promis une IA améliorée, des mécaniques de combat plus dynamiques et des missions scénarisées avec un degré de liberté jamais vu dans la série. Les fans pourront ainsi redécouvrir le jeu sous un nouveau jour, avec des environnements plus variés et des personnages encore plus travaillés. De plus, le jeu bénéficiera d’un nouveau mode de difficulté pour les joueurs en quête de défis supplémentaires. 

 

  1. Partenariat avec les créateurs de musique pour une bande-son exclusive

 

Une autre annonce qui a capté l’attention des visiteurs de la Gamescom a été le partenariat exclusif entre Pullup Entertainment et plusieurs créateurs de musique de renommée mondiale. Le studio a révélé que la bande-son de certains de ses jeux à venir, dont “Elysium’s End” et “Stellar Drift”, serait le fruit de collaborations avec des artistes renommés dans le domaine de la musique orchestrale et électronique. 

 

Cette initiative vise à offrir une expérience sonore immersive et unique, contribuant à l’ambiance des jeux et à la narration. Les créateurs de musique auront l’opportunité de contribuer activement à l’évolution de ces univers, avec des morceaux spécialement composés pour chaque scène clé des jeux. 

 

  1. Un nouveau partenariat pour une série animée basée sur “Shadow of the Fallen”

 

Enfin, la surprise de cette édition de la Gamescom 2025 a été l’annonce d’un partenariat avec un studio d’animation pour la production d’une série animée basée sur “Shadow of the Fallen”. Cette série promet de plonger plus profondément dans l’histoire de l’univers du jeu, avec des épisodes qui exploreront de nouveaux personnages et des événements qui n’ont pas été abordés dans le jeu vidéo. Les fans pourront découvrir l’histoire sous un angle différent, tout en restant immergés dans l’atmosphère sombre et intense qui fait le succès de Shadow of the Fallen. 

 

Pullup Entertainment a su, une fois de plus, marquer les esprits lors de la Gamescom 2025 avec des annonces aussi excitantes qu’inattendues. Du teasing de nouveaux jeux révolutionnaires à des mises à jour innovantes pour ses titres phares, le studio a confirmé son statut de leader dans l’industrie du jeu vidéo indépendant. Les prochaines années s’annoncent prometteuses pour Pullup Entertainment, qui continue de repousser les limites de la créativité et de l’innovation. Restez connectés pour ne rien manquer de leurs prochaines révélations ! 

Demon Slayer : Infinity Castle, le phénomène qui secoue le box-office mondial

Actualité publiée le 15 September 2025

La machine Demon Slayer n’a pas fini de surprendre. Avec la sortie de Demon Slayer: Infinity Castle, premier film d’une trilogie qui adaptera l’arc final du manga, la franchise démontre à nouveau sa puissance économique et culturelle. Sorti en juillet 2025 au Japon, le film s’est rapidement imposé comme un succès historique, avant d’entamer une conquête mondiale qui redéfinit la place de l’animation japonaise sur la scène internationale.

 

 

 

 

 

Un démarrage record au Japon

 

Dès ses premiers jours, Infinity Castle a affiché des chiffres impressionnants. En seulement quatre jours, le film a généré plus de 7 milliards de yens de recettes, établissant ainsi le meilleur démarrage de l’histoire du cinéma japonais. Au fil des semaines, il s’est solidement installé dans le paysage culturel, atteignant plus de 200 millions de dollars de recettes rien qu’au Japon. Une performance qui le place parmi les titres les plus rentables de tous les temps dans l’archipel, juste derrière son prédécesseur, Mugen Train.

 

 

Une expansion internationale calibrée

 

La sortie mondiale a été pensée comme une véritable stratégie d’occupation des écrans. En août, le film a été distribué progressivement en Asie, avant de débarquer en septembre en Amérique, en Europe et en Inde. Cette dernière a marqué les esprits en organisant des séances dès cinq heures du matin, un honneur rarement accordé à un film étranger. Cette ferveur illustre à quel point Demon Slayer est devenu un phénomène culturel mondial, transcendant les frontières et les fuseaux horaires.

 

 

Des chiffres qui parlent d’eux-mêmes

 

À l’échelle internationale, Infinity Castle a rapidement dépassé les 90 millions de dollars en dehors du Japon, avec de solides performances en Corée du Sud, à Taïwan, en Thaïlande et dans d’autres pays d’Asie du Sud-Est. En cumulant les résultats domestiques et internationaux, le film a franchi la barre symbolique des 300 millions de dollars en moins de deux mois. Cela le propulse directement dans le cercle très restreint des films d’animation les plus rentables de l’histoire, aux côtés de Your Name, Spirited Away, Suzume et bien sûr Mugen Train.

 

 

Le poids d’un phénomène culturel

 

Le succès ne se mesure pas seulement en dollars. Les files d’attente, les projections spéciales à l’aube et les produits dérivés vendus à la vitesse de l’éclair témoignent d’un engouement bien plus large. Le marketing a joué un rôle essentiel, avec des objets collectors distribués dans les cinémas, renforçant l’idée que chaque séance est une expérience unique. Les spectateurs ne viennent pas seulement voir un film : ils participent à un rituel collectif, un moment de culture partagée.

 

 

Des critiques partagées mais globalement positives

 

Sur le plan artistique, le film impressionne par la qualité de son animation et la richesse de sa mise en scène. Les combats spectaculaires, portés par une bande-son immersive, ont séduit la majorité des spectateurs. Quelques critiques évoquent toutefois un rythme inégal, marqué par des temps morts qui rappellent qu’il s’agit avant tout du premier volet d’une trilogie. L’intrigue principale n’a pas encore révélé tout son potentiel, laissant présager des développements encore plus intenses dans les prochains chapitres.

 

 

Une place particulière sur le marché mondial

 

Le cas Demon Slayer est révélateur d’une tendance plus large : l’anime n’est plus un marché de niche. Avec Infinity Castle, l’animation japonaise prouve qu’elle peut rivaliser avec les blockbusters hollywoodiens, aussi bien en termes de revenus que d’impact culturel. Elle démontre également que les publics du monde entier sont prêts à se mobiliser pour ce type d’événement, quitte à se lever aux aurores pour assister à une projection.

 

 

 

Demon Slayer: Infinity Castle est bien plus qu’un film à succès. C’est un marqueur de l’époque, la preuve que l’animation japonaise occupe désormais une place centrale dans l’industrie mondiale du divertissement. En atteignant si vite les 300 millions de dollars de recettes, la franchise montre qu’elle n’a pas seulement séduit une génération, mais qu’elle est en train d’écrire l’histoire du cinéma contemporain. Et puisque ce n’est que le premier volet de la trilogie finale, il ne fait aucun doute que le phénomène Demon Slayer est encore loin d’avoir dit son dernier mot.

 

L’essor des webtoons et leur influence sur le storytelling de jeux vidéo

Actualité publiée le 10 September 2025

Au cours des dernières années, les webtoons ont connu une explosion de popularité, captivant un public mondial avec leur format numérique accessible, leur narration innovante et leur capacité à fusionner divers genres. Ces bandes dessinées en ligne, généralement publiées chapitre par chapitre, sont souvent accompagnées d’illustrations dynamiques et de dialogues percutants, qui suscitent un fort engagement des lecteurs. Mais ce n’est pas tout : l’essor des webtoons a également eu un impact majeur sur d’autres secteurs du divertissement, en particulier sur les jeux vidéo. La convergence entre ces deux univers a engendré une nouvelle manière de raconter des histoires, influençant profondément la narration interactive et immersive des jeux modernes. 

 

 

Webtoons : un phénomène culturel global 

 

Les webtoons trouvent leurs racines en Corée du Sud. Contrairement aux bandes dessinées traditionnelles, les webtoons sont généralement conçus pour être lus sur des écrans de smartphones et sont souvent divisés en sections verticales permettant une lecture fluide en défilement. Ce format est particulièrement adapté à la consommation mobile et leur a permis de toucher une génération de jeunes lecteurs habitués à une consommation rapide de contenu numérique, qui préfèrent ce format interactif et accessible. 

 

L’un des facteurs clés de leur succès est la diversité des genres qu’ils couvrent : romance, fantasy, science-fiction, horreur, et bien plus encore. Ils se distinguent par leur capacité à intégrer des éléments visuels et narratifs dynamiques, et ce, d’une manière innovante, souvent adaptée à la culture contemporaine. Cela leur permet de s’adresser à un public jeune, passionné et engagé, toujours à la recherche de nouvelles expériences narratives. 

 

 

Le storytelling dans les webtoons : entre visuel et narration interactive 

 

Les webtoons ne se contentent pas de raconter des histoires ; ils utilisent des éléments visuels pour renforcer l’impact émotionnel de la narration. Grâce à des mises en page innovantes, des couleurs vives et des transitions fluides entre les scènes, ces bandes dessinées numériques jouent un rôle clé dans l’expérience immersive du lecteur. Chaque épisode est conçu pour capter l’attention et maintenir un suspense constant, à travers des cliffhangers et des twists inattendus. 

 

Ce style de narration visuelle est particulièrement influent dans le domaine des jeux vidéo. L’idée de fusionner texte et image pour créer une atmosphère immersive est un principe fondamental du design narratif des jeux modernes. La narration interactive, un concept central dans l’évolution des jeux vidéo, trouve ses racines dans des techniques similaires utilisées dans les webtoons. En particulier, l’usage de scènes en défilement, de décors détaillés et de personnages dynamiques a inspiré de nombreux développeurs de jeux à adopter des approches visuelles similaires. 

 

 

L’influence des webtoons sur les jeux vidéo 

 

Les studios de jeux commencent à adopter des techniques narratives inspirées des webtoons, notamment dans les jeux narratifs et les visual novels. Le format séquentiel, cher aux webtoons, est une méthode populaire dans la conception de jeux où les joueurs peuvent suivre l’évolution d’une histoire à travers des choix interactifs et des chapitres successifs. 

 

Des titres comme Doki Doki Literature Club, Life is Strange, ou encore The Walking Dead de Telltale Games, ont utilisé des techniques narratives qui s’apparentent fortement à celles des webtoons, notamment en termes de découpage des scènes et d’interactivité. Les joueurs de jeux vidéo sont invités à s’impliquer émotionnellement dans l’histoire et à interagir avec les personnages, influençant le déroulement de l’intrigue. Le recours à des visuels expressifs et des choix narratifs, caractéristique des webtoons, permet de maintenir un haut niveau de tension dramatique, un élément fondamental dans l’expérience immersive proposée par ces jeux. 

 

Exemples de jeux vidéo inspirés par les webtoons 

 

  • Genshin Impact 

Bien que principalement un RPG d’action, Genshin Impact intègre des éléments de storytelling et de narration visuelle similaires à ceux des webtoons. Les personnages de Genshin Impact sont non seulement magnifiquement conçus, mais les scènes de dialogue et d’interaction entre les personnages se déroulent souvent avec des effets visuels qui rappellent les transitions fluides observées dans ces bandes-dessinés. De plus, l’utilisation de décors et de paysages détaillés permet de renforcer l’impact émotionnel de l’intrigue, rendant le monde virtuel captivant. 

 

  • The Wolf among us 

The Wolf Among Us, un jeu vidéo de Telltale Games, se base sur l’univers des contes de fées mais avec une approche de narration similaire à celle des webtoons. Le jeu combine des dialogues riches, des choix narratifs et des visuels détaillés, créant une atmosphère narrative profonde et engageante. 

 

 

L’avenir du storytelling dans les jeux vidéo : une fusion croissante avec les webtoons 

 

Alors que les jeux vidéo continuent d’évoluer vers des expériences plus interactives et narratives, les éléments visuels et séquentiels empruntés aux webtoons seront de plus en plus exploités. La narration dans les jeux virtuels pourrait se rapprocher encore davantage de celle des webtoons, avec des chapitres séquencés, des histoires qui se déroulent sur plusieurs niveaux et des mécanismes interactifs qui permettent aux joueurs de participer activement à la construction de l’intrigue. 

 

Les technologies immersives comme la réalité virtuelle (VR) et la réalité augmentée (AR) joueront également un rôle clé dans cette convergence. En combinant les visuels saisissants des webtoons avec des expériences immersives, les jeux vidéo du futur pourraient offrir des narrations plus fluides, interactives et visuellement stimulantes, tout en exploitant le meilleur des deux mondes. 

 

 

L’essor des webtoons représente une nouvelle ère pour la narration visuelle et interactive, un domaine qui trouve un écho particulièrement fort dans les jeux vidéo. Alors que ces deux mondes continuent de fusionner, les jeunes créateurs et développeurs de jeux vidéo auront la possibilité de puiser dans les éléments narratifs et visuels des webtoons pour façonner des expériences plus engageantes et émotionnellement riches. Pour les étudiants et futurs professionnels de l’industrie du jeu vidéo, comprendre cette influence croissante et savoir comment l’intégrer dans leurs propres créations pourrait devenir un atout majeur pour l’avenir du storytelling numérique. 

 

Azog VS Zombies : défendre un camion à pizza n’a jamais été aussi explosif !

Actualité publiée le 4 September 2025

Dans le cadre du module Game Design 01, les étudiants de première année à l’ICAN relèvent un premier défi de taille : concevoir un jeu complet avec des mécaniques simples mais efficaces. El Ghali Laachoubi signe ici une création déjantée et énergique : Azog VS Zombies, un beat’em all solo où l’on incarne un cyborg armé jusqu’aux dents, chargé de protéger un camion à pizza contre des vagues de zombies affamés.

Une mission urgente : sauver le Payload (et les pizzas)

Le concept est aussi original qu’efficace : le joueur incarne Azog, un cyborg de combat dont la mission est d’escorter un camion à pizza (le Payload) jusqu’à bon port. Ce dernier avance lentement, déclenche des vagues d’ennemis à chaque zone traversée, et devient la cible principale des zombies.

Avec seulement 5 points de vie, Azog n’a pas droit à l’erreur, d’autant que le Payload, avec ses 100 PV, représente le cœur de l’objectif. Si le camion est détruit, c’est la fin de la partie.

 

Des mécaniques de combat simples, mais tactiques

Azog dispose de deux types d’attaques :

  • Un gros coup de poing, directionnel, avec un léger recul de 30 pixels pour appuyer le dynamisme du gameplay et améliorer les déplacements. Il ne peut pas être spammé, car il nécessite la fin de son animation pour être réutilisé.
  • Un lance-roquettes, déclenché dans la direction du viseur. Les roquettes explosent à l’impact, et si Azog se trouve dans l’aire de l’explosion, il est projeté à 100 pixels — sans subir de dégâts. Un effet tremplin bien utile dans les situations d’urgence.

Ce système de recul et de propulsion apporte du gamefeel : chaque attaque a un impact réel sur la position du joueur, renforçant le sentiment de maîtrise et de mobilité fluide.

 

Le Payload au cœur du gameplay

Le camion n’est pas un simple décor. C’est une mécanique centrale :

  • Il déclenche les vagues de zombies.
  • Il impose un rythme au joueur.
  • Il est la cible à défendre, bien plus résistante qu’Azog, mais bien plus lente.

Une idée subtile : le joueur peut volontairement bloquer le camion pour le ralentir, évitant ainsi d’activer les vagues suivantes. Une tactique risquée mais parfois salvatrice.

Autre élément de gameplay intéressant : la flaque de boue en fin de niveau, qui ralentit le camion, le rendant plus vulnérable. Elle oblige le joueur à redoubler d’attention dans les derniers instants de la partie.

 

Des ennemis variés et stratégiques

Le jeu introduit plusieurs types de zombies :

  • Les zombies classiques : lents mais nombreux, ils visent uniquement le camion.
  • Les zombies explosifs : redoutables, ils infligent 4 dégâts au camion et 1 au joueur, tout en le projetant à distance.
  • L’interaction entre zombies elle-même est exploitée : lorsqu’ils se percutent, ils s’étourdissent, ouvrant une brèche pour des éliminations stratégiques.

Ce système donne au joueur un pouvoir d’anticipation, renforçant la dimension tactique du jeu malgré sa simplicité apparente.

 

Une première année déjà explosive à l’ICAN

Azog VS Zombies est une création complète, jouable et rythmée, qui prouve que dès la première année, les étudiants de l’ICAN sont capables de concevoir des expériences ludiques fun, équilibrées et créatives. Entre systèmes de jeu maîtrisés, gamefeel dynamique et concept original, ce projet s’inscrit dans l’ADN pédagogique de l’école : apprendre en créant.

Une preuve concrète que le game design s’expérimente, se teste et s’optimise dès les premières semaines. Et quand il s’agit de sauver un camion à pizza dans un monde apocalyptique… nos étudiants sont manifestement prêts.

De l’illustration 2D au NFT : nouvelles opportunités pour les artistes

Actualité publiée le 3 September 2025

Depuis toujours, l’illustration 2D occupe une place centrale dans l’imaginaire collectif : affiches, bandes dessinées, couvertures d’albums, concept arts pour le cinéma ou le jeu vidéo. Mais depuis quelques années, un nouvel acteur a fait irruption dans le monde de l’art numérique : le NFT. À mi-chemin entre technologie et culture, il a ouvert des horizons inédits pour les créateurs, en bouleversant les codes de la propriété, de la diffusion et de la monétisation. Pour les étudiants et jeunes artistes, comprendre ces changements est crucial afin de se projeter dans un secteur en pleine mutation.

 

 

 

Qu’est-ce qu’un NFT et pourquoi cela concerne les illustrateurs ?

Un NFT (Non-Fungible Token) est un certificat numérique, inscrit sur la blockchain, qui garantit l’authenticité et la propriété d’une œuvre. Contrairement à un simple fichier image qui peut être copié à l’infini, un NFT permet d’identifier de manière unique qui possède l’œuvre originale, même si des copies circulent.

 

Pour les illustrateurs 2D, souvent confrontés à la difficulté de protéger et de valoriser leurs créations, ce mécanisme change la donne. Un dessin, une animation ou un concept art peut devenir un actif numérique unique, revendable et traçable, offrant à l’artiste une nouvelle manière de tirer profit de son talent.

 

Du carnet de croquis à la blockchain

Traditionnellement, un illustrateur 2D diffuse son travail via des expositions, des portfolios en ligne ou des collaborations avec des éditeurs. Avec l’arrivée des NFT, la mise en valeur passe par de nouveaux canaux : plateformes spécialisées comme OpenSea, Rarible ou Foundation, où les artistes publient et vendent directement leurs œuvres numériques.

 

Ce passage n’est pas une rupture totale avec les méthodes classiques : c’est plutôt une extension. Les croquis, les planches ou les illustrations finalisées peuvent désormais exister à la fois comme contenu artistique et comme actifs numériques. C’est une manière de prolonger l’impact d’une œuvre et d’atteindre un public plus large, souvent international.

 

Un marché en pleine effervescence

Le marché des NFT a connu une croissance fulgurante, attirant collectionneurs, investisseurs et amateurs d’art numérique. Des œuvres vendues plusieurs millions de dollars ont fait la une des médias, alimentant à la fois fascination et scepticisme.

 

Pour les jeunes artistes, l’intérêt n’est pas forcément de viser des ventes records, mais plutôt de profiter de cet écosystème pour se faire connaître, fédérer une communauté et générer des revenus complémentaires. Les NFT permettent aussi de percevoir des royalties à chaque revente, une pratique impossible dans le marché traditionnel. Cela signifie que l’illustrateur continue à bénéficier de la valeur de son travail, même longtemps après sa première vente.

 

Une nouvelle relation entre artiste et public

Les NFT ne se résument pas à un simple acte de vente. Ils créent une relation différente entre l’artiste et son public. Acheter un NFT, c’est souvent rejoindre une communauté, soutenir un créateur et accéder à un univers plus large. Certains artistes ajoutent des avantages exclusifs : accès à des œuvres inédites, participation à des événements virtuels, ou encore interaction directe avec le processus créatif.

 

Pour un illustrateur 2D, cela ouvre la porte à une dimension narrative et communautaire. L’œuvre n’est plus isolée, elle s’inscrit dans un écosystème vivant, où les spectateurs deviennent acteurs.

 

Des opportunités mais aussi des défis

Comme toute innovation, les NFT soulèvent des débats.

 

  • Impact environnemental : la consommation énergétique des blockchains reste une question sensible, même si des alternatives plus écologiques émergent.
  • Volatilité du marché : les prix peuvent fluctuer fortement, ce qui rend les revenus incertains.
  • Droits d’auteur : si le NFT prouve la propriété, il ne règle pas tous les problèmes liés à la reproduction ou à l’utilisation commerciale des images.

 

Ces limites doivent inciter les jeunes artistes à rester prudents : se former, expérimenter, mais garder un regard critique sur les outils et les plateformes utilisées.

 

De nouvelles compétences à développer

Passer de l’illustration 2D au NFT ne consiste pas seulement à changer de support. Cela demande de nouvelles compétences, complémentaires à celles de l’artiste :

 

  • Comprendre le fonctionnement des blockchains et des plateformes NFT.
  • Apprendre à présenter et promouvoir ses œuvres auprès d’un public numérique.
  • Développer une stratégie de communication, souvent sur les réseaux sociaux, pour attirer et fidéliser une communauté.

 

Dans cette logique, la formation artistique ne peut plus se limiter aux outils classiques de dessin ou de peinture numérique. Elle doit intégrer les compétences liées au Web3, afin de donner aux créateurs toutes les cartes pour évoluer dans ce nouvel écosystème.

 

 

L’approche pédagogique de l’ICAN

À l’ICAN, nous considérons que l’innovation est une opportunité pour enrichir la créativité des étudiants. L’essor des NFT fait partie de ces révolutions que l’école intègre à sa pédagogie, non pas pour suivre une tendance, mais pour préparer les artistes aux réalités de demain.

 

Les étudiants en illustration et en design numérique explorent les bases du dessin et de la composition, mais aussi les usages concrets des technologies émergentes. Ils apprennent à croiser savoir-faire traditionnels et innovations digitales, à expérimenter de nouveaux formats, et à réfléchir aux enjeux culturels et économiques de leurs pratiques.

 

Ainsi, la formation ne se limite pas à l’acquisition d’outils : elle développe une vision globale, critique et créative de la place de l’artiste dans un monde en constante évolution.

 

Un futur à inventer

De l’illustration 2D au NFT, il ne s’agit pas d’un remplacement mais d’une continuité augmentée. L’artiste garde son regard, sa sensibilité et son univers, mais il dispose désormais de nouveaux leviers pour valoriser et partager son travail.

 

Pour les étudiants et jeunes créateurs, c’est l’occasion unique de prendre part à une révolution culturelle et technologique, en devenant non seulement des illustrateurs, mais aussi des pionniers de l’art numérique du futur.

 

Le défi est double : maîtriser les fondamentaux qui assurent la qualité artistique, et explorer sans crainte les nouvelles opportunités offertes par le Web3 et les NFT. Dans ce mouvement, une certitude demeure : l’art, qu’il soit sur papier ou sur blockchain, reste avant tout une aventure humaine et créative.

 

Stages & alternance : les métiers les plus demandés en design et développement jeu vidéo

Actualité publiée le 27 August 2025

Dans un secteur en constante évolution, l’industrie du jeu vidéo continue d’offrir de nombreuses opportunités pour les étudiants en design et développement. Que vous soyez en Bac+2, Bac+3 ou Bac+5, en recherche de stage, d’alternance, ou de première expérience professionnelle, certains métiers reviennent régulièrement dans les offres du secteur. Voici un panorama des profils les plus recherchés en 2025, basé sur les retours de studios partenaires et les tendances du marché.

  1. Game Designer : l’architecte de l’expérience de jeu

Toujours en haut de la liste, le game designer est recherché pour sa capacité à concevoir les mécaniques de jeu, l’équilibrage, la progression, et l’expérience utilisateur.

Les studios attendent des profils capables d’utiliser des outils comme Unity, Unreal, ou Miro, avec une bonne compréhension du comportement joueur.

 

  1. Level Designer : concevoir des mondes vivants et cohérents

Le level designer est au cœur de la création d’univers jouables. Il est chargé de créer les niveaux, les environnements, et les parcours de jeu.

Une sensibilité à la narration environnementale et une bonne maîtrise de la spatialisation sont de vrais atouts pour décrocher un poste.

 

  1. Développeur Gameplay : entre code et fun

C’est l’un des métiers les plus en tension ! Le développeur gameplay transforme les idées du game designer en éléments jouables concrets. Il programme les mécaniques de jeu, les contrôles, les interactions…

Les profils à l’aise en C++, C#, Unity ou Unreal Engine sont très recherchés en alternance, notamment dans les studios indépendants.

 

  1. UI/UX Designer : au service de la lisibilité et du confort

L’expérience utilisateur est devenue un élément essentiel de tout projet vidéoludique. Les UI/UX designers créent des interfaces claires, immersives et accessibles à tous types de joueurs.

Savoir travailler avec Figma, Illustrator ou Photoshop tout en comprenant la logique du joueur est un combo gagnant.

 

  1. QA Tester / Testeur jeu vidéo : un tremplin vers la production

Moins connu mais très accessible en début de carrière, le poste de QA Tester (Quality Assurance) permet de découvrir le pipeline complet d’un jeu en repérant les bugs et en testant les mécaniques.

C’est souvent un premier pas stratégique pour entrer dans les grands studios ou pour développer une compréhension complète de la production.

 

Bonus : les “plus” qui font la différence

  • Une présence sur ArtStation, GitHub ou Behance bien tenue
  • Des projets personnels ou étudiants solides à montrer
  • Une bonne culture du jeu vidéo et des moteurs de jeu
  • La capacité à travailler en équipe dans un environnement agile

 

 À l’ICAN, nous accompagnons activement nos étudiants

Grâce à notre réseau de partenaires et à notre accompagnement pédagogique, nos étudiants bénéficient d’un cadre privilégié pour trouver des stages et alternances qualifiantes. Que ce soit en design, développement, narration ou animation, nos cursus sont pensés pour répondre aux réalités du marché.

Que faire après un bac quand on aime les jeux vidéo ?

Actualité publiée le 20 August 2025

Si vous êtes passionné de jeux vidéo et que vous vous demandez quoi faire après le bac, vous n’êtes pas seul. De plus en plus d’étudiants cherchent à transformer leur passion en métier. Avec l’ouverture du Bachelor Game Design à l’ICAN Bordeaux, c’est désormais possible dans une ville dynamique et porteuse pour l’industrie du jeu vidéo.

Pourquoi choisir une carrière dans le jeu vidéo ?

Le jeu vidéo est aujourd’hui la première industrie culturelle mondiale, devant le cinéma et la musique. En France, des studios renommés comme Ubisoft, Asobo Studio, ou encore Shiro Games sont à l’origine de créations qui rayonnent à l’international (A Plague Tale, Northgard, etc.).

Ces entreprises recherchent des profils qualifiés, créatifs, capables d’imaginer, de concevoir et de développer des expériences vidéoludiques inédites.

Si vous aimez créer des univers, écrire des scénarios, réfléchir à la mécanique de jeu et travailler en équipe, le game design est un domaine fait pour vous.

 

Étudier à Bordeaux : une ville en plein essor

Bordeaux est bien plus qu’un patrimoine architectural classé ou une destination œnologique. C’est l’un des pôles majeurs du jeu vidéo en France, avec une concentration croissante de studios indépendants et de filiales de grandes entreprises.

Des acteurs comme Ubisoft Bordeaux, installé depuis 2017, participent activement à la création de blockbusters internationaux, à l’image de la licence Assassin’s Creed. Cette présence attire tout un écosystème : entreprises tech, incubateurs, événements e-sport et professionnels du secteur.

Choisir de se former à Bordeaux, c’est s’installer dans une ville dynamique, créative et où l’industrie du jeu vidéo est en plein développement.

 

Le Bachelor Game Design de l’ICAN : une formation complète et professionnalisante

Le Bachelor Game Design de l’ICAN est une formation en trois ans, accessible après le bac, qui vous prépare à tous les aspects de la conception de jeux vidéo :

  • Création de gameplay et de mécaniques de jeu
  • Level design, narration interactive
  • Culture du jeu vidéo et analyse critique
  • Outils de production et gestion de projet
  • Travail en équipe sur des projets concrets

 

Encadré par des professionnels en activité, le programme permet de se constituer un socle de compétences fondamentales permettant d’appréhender la conception de jeux vidéo dans sa globalité. Vous serez amené à monter progressivement en compétences techniques et créatives tout au long des trois années.

A la fin de votre cursus, vous serez capable de réaliser un jeu vidéo complet sur Unity3D.

 

Les débouchés métiers

À l’issue de la formation, les diplômés peuvent prétendre à plusieurs métiers en demande dans le secteur du jeu vidéo :

  • Game Designer
  • Level Designer
  • Narrative Designer
  • Développeur Unity
  • 3D Game Artist

Et pour ceux qui souhaitent aller plus loin, l’ICAN propose également des formations de niveau Mastère, notamment sur le campus de Paris.

 

Après le bac, il est possible de transformer sa passion pour les jeux vidéo en véritable projet professionnel. Le Bachelor Game Design à l’ICAN Bordeaux vous offre une formation de qualité, ancrée dans la réalité du secteur, au sein d’une ville dynamique et connectée à l’industrie. N’attendez plus pour faire de votre passion un métier !

Robot Mascotte ICAN

Cette école fait partie du groupe Réseau GES
Établissement d'Enseignement Supérieur Privé
Dernière mise à jour : Septembre 2025

4 campus en France

Cette école fait partie du groupe Réseau GES
Établissement d'Enseignement Supérieur Privé
Dernière mise à jour : Septembre 2025

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