Demon Slayer : Infinity Castle, le phénomène qui secoue le box-office mondial

Actualité publiée le 15 September 2025

La machine Demon Slayer n’a pas fini de surprendre. Avec la sortie de Demon Slayer: Infinity Castle, premier film d’une trilogie qui adaptera l’arc final du manga, la franchise démontre à nouveau sa puissance économique et culturelle. Sorti en juillet 2025 au Japon, le film s’est rapidement imposé comme un succès historique, avant d’entamer une conquête mondiale qui redéfinit la place de l’animation japonaise sur la scène internationale.

 

 

 

 

 

Un démarrage record au Japon

 

Dès ses premiers jours, Infinity Castle a affiché des chiffres impressionnants. En seulement quatre jours, le film a généré plus de 7 milliards de yens de recettes, établissant ainsi le meilleur démarrage de l’histoire du cinéma japonais. Au fil des semaines, il s’est solidement installé dans le paysage culturel, atteignant plus de 200 millions de dollars de recettes rien qu’au Japon. Une performance qui le place parmi les titres les plus rentables de tous les temps dans l’archipel, juste derrière son prédécesseur, Mugen Train.

 

 

Une expansion internationale calibrée

 

La sortie mondiale a été pensée comme une véritable stratégie d’occupation des écrans. En août, le film a été distribué progressivement en Asie, avant de débarquer en septembre en Amérique, en Europe et en Inde. Cette dernière a marqué les esprits en organisant des séances dès cinq heures du matin, un honneur rarement accordé à un film étranger. Cette ferveur illustre à quel point Demon Slayer est devenu un phénomène culturel mondial, transcendant les frontières et les fuseaux horaires.

 

 

Des chiffres qui parlent d’eux-mêmes

 

À l’échelle internationale, Infinity Castle a rapidement dépassé les 90 millions de dollars en dehors du Japon, avec de solides performances en Corée du Sud, à Taïwan, en Thaïlande et dans d’autres pays d’Asie du Sud-Est. En cumulant les résultats domestiques et internationaux, le film a franchi la barre symbolique des 300 millions de dollars en moins de deux mois. Cela le propulse directement dans le cercle très restreint des films d’animation les plus rentables de l’histoire, aux côtés de Your Name, Spirited Away, Suzume et bien sûr Mugen Train.

 

 

Le poids d’un phénomène culturel

 

Le succès ne se mesure pas seulement en dollars. Les files d’attente, les projections spéciales à l’aube et les produits dérivés vendus à la vitesse de l’éclair témoignent d’un engouement bien plus large. Le marketing a joué un rôle essentiel, avec des objets collectors distribués dans les cinémas, renforçant l’idée que chaque séance est une expérience unique. Les spectateurs ne viennent pas seulement voir un film : ils participent à un rituel collectif, un moment de culture partagée.

 

 

Des critiques partagées mais globalement positives

 

Sur le plan artistique, le film impressionne par la qualité de son animation et la richesse de sa mise en scène. Les combats spectaculaires, portés par une bande-son immersive, ont séduit la majorité des spectateurs. Quelques critiques évoquent toutefois un rythme inégal, marqué par des temps morts qui rappellent qu’il s’agit avant tout du premier volet d’une trilogie. L’intrigue principale n’a pas encore révélé tout son potentiel, laissant présager des développements encore plus intenses dans les prochains chapitres.

 

 

Une place particulière sur le marché mondial

 

Le cas Demon Slayer est révélateur d’une tendance plus large : l’anime n’est plus un marché de niche. Avec Infinity Castle, l’animation japonaise prouve qu’elle peut rivaliser avec les blockbusters hollywoodiens, aussi bien en termes de revenus que d’impact culturel. Elle démontre également que les publics du monde entier sont prêts à se mobiliser pour ce type d’événement, quitte à se lever aux aurores pour assister à une projection.

 

 

 

Demon Slayer: Infinity Castle est bien plus qu’un film à succès. C’est un marqueur de l’époque, la preuve que l’animation japonaise occupe désormais une place centrale dans l’industrie mondiale du divertissement. En atteignant si vite les 300 millions de dollars de recettes, la franchise montre qu’elle n’a pas seulement séduit une génération, mais qu’elle est en train d’écrire l’histoire du cinéma contemporain. Et puisque ce n’est que le premier volet de la trilogie finale, il ne fait aucun doute que le phénomène Demon Slayer est encore loin d’avoir dit son dernier mot.

 

L’essor des webtoons et leur influence sur le storytelling de jeux vidéo

Actualité publiée le 10 September 2025

Au cours des dernières années, les webtoons ont connu une explosion de popularité, captivant un public mondial avec leur format numérique accessible, leur narration innovante et leur capacité à fusionner divers genres. Ces bandes dessinées en ligne, généralement publiées chapitre par chapitre, sont souvent accompagnées d’illustrations dynamiques et de dialogues percutants, qui suscitent un fort engagement des lecteurs. Mais ce n’est pas tout : l’essor des webtoons a également eu un impact majeur sur d’autres secteurs du divertissement, en particulier sur les jeux vidéo. La convergence entre ces deux univers a engendré une nouvelle manière de raconter des histoires, influençant profondément la narration interactive et immersive des jeux modernes. 

 

 

Webtoons : un phénomène culturel global 

 

Les webtoons trouvent leurs racines en Corée du Sud. Contrairement aux bandes dessinées traditionnelles, les webtoons sont généralement conçus pour être lus sur des écrans de smartphones et sont souvent divisés en sections verticales permettant une lecture fluide en défilement. Ce format est particulièrement adapté à la consommation mobile et leur a permis de toucher une génération de jeunes lecteurs habitués à une consommation rapide de contenu numérique, qui préfèrent ce format interactif et accessible. 

 

L’un des facteurs clés de leur succès est la diversité des genres qu’ils couvrent : romance, fantasy, science-fiction, horreur, et bien plus encore. Ils se distinguent par leur capacité à intégrer des éléments visuels et narratifs dynamiques, et ce, d’une manière innovante, souvent adaptée à la culture contemporaine. Cela leur permet de s’adresser à un public jeune, passionné et engagé, toujours à la recherche de nouvelles expériences narratives. 

 

 

Le storytelling dans les webtoons : entre visuel et narration interactive 

 

Les webtoons ne se contentent pas de raconter des histoires ; ils utilisent des éléments visuels pour renforcer l’impact émotionnel de la narration. Grâce à des mises en page innovantes, des couleurs vives et des transitions fluides entre les scènes, ces bandes dessinées numériques jouent un rôle clé dans l’expérience immersive du lecteur. Chaque épisode est conçu pour capter l’attention et maintenir un suspense constant, à travers des cliffhangers et des twists inattendus. 

 

Ce style de narration visuelle est particulièrement influent dans le domaine des jeux vidéo. L’idée de fusionner texte et image pour créer une atmosphère immersive est un principe fondamental du design narratif des jeux modernes. La narration interactive, un concept central dans l’évolution des jeux vidéo, trouve ses racines dans des techniques similaires utilisées dans les webtoons. En particulier, l’usage de scènes en défilement, de décors détaillés et de personnages dynamiques a inspiré de nombreux développeurs de jeux à adopter des approches visuelles similaires. 

 

 

L’influence des webtoons sur les jeux vidéo 

 

Les studios de jeux commencent à adopter des techniques narratives inspirées des webtoons, notamment dans les jeux narratifs et les visual novels. Le format séquentiel, cher aux webtoons, est une méthode populaire dans la conception de jeux où les joueurs peuvent suivre l’évolution d’une histoire à travers des choix interactifs et des chapitres successifs. 

 

Des titres comme Doki Doki Literature Club, Life is Strange, ou encore The Walking Dead de Telltale Games, ont utilisé des techniques narratives qui s’apparentent fortement à celles des webtoons, notamment en termes de découpage des scènes et d’interactivité. Les joueurs de jeux vidéo sont invités à s’impliquer émotionnellement dans l’histoire et à interagir avec les personnages, influençant le déroulement de l’intrigue. Le recours à des visuels expressifs et des choix narratifs, caractéristique des webtoons, permet de maintenir un haut niveau de tension dramatique, un élément fondamental dans l’expérience immersive proposée par ces jeux. 

 

Exemples de jeux vidéo inspirés par les webtoons 

 

  • Genshin Impact 

Bien que principalement un RPG d’action, Genshin Impact intègre des éléments de storytelling et de narration visuelle similaires à ceux des webtoons. Les personnages de Genshin Impact sont non seulement magnifiquement conçus, mais les scènes de dialogue et d’interaction entre les personnages se déroulent souvent avec des effets visuels qui rappellent les transitions fluides observées dans ces bandes-dessinés. De plus, l’utilisation de décors et de paysages détaillés permet de renforcer l’impact émotionnel de l’intrigue, rendant le monde virtuel captivant. 

 

  • The Wolf among us 

The Wolf Among Us, un jeu vidéo de Telltale Games, se base sur l’univers des contes de fées mais avec une approche de narration similaire à celle des webtoons. Le jeu combine des dialogues riches, des choix narratifs et des visuels détaillés, créant une atmosphère narrative profonde et engageante. 

 

 

L’avenir du storytelling dans les jeux vidéo : une fusion croissante avec les webtoons 

 

Alors que les jeux vidéo continuent d’évoluer vers des expériences plus interactives et narratives, les éléments visuels et séquentiels empruntés aux webtoons seront de plus en plus exploités. La narration dans les jeux virtuels pourrait se rapprocher encore davantage de celle des webtoons, avec des chapitres séquencés, des histoires qui se déroulent sur plusieurs niveaux et des mécanismes interactifs qui permettent aux joueurs de participer activement à la construction de l’intrigue. 

 

Les technologies immersives comme la réalité virtuelle (VR) et la réalité augmentée (AR) joueront également un rôle clé dans cette convergence. En combinant les visuels saisissants des webtoons avec des expériences immersives, les jeux vidéo du futur pourraient offrir des narrations plus fluides, interactives et visuellement stimulantes, tout en exploitant le meilleur des deux mondes. 

 

 

L’essor des webtoons représente une nouvelle ère pour la narration visuelle et interactive, un domaine qui trouve un écho particulièrement fort dans les jeux vidéo. Alors que ces deux mondes continuent de fusionner, les jeunes créateurs et développeurs de jeux vidéo auront la possibilité de puiser dans les éléments narratifs et visuels des webtoons pour façonner des expériences plus engageantes et émotionnellement riches. Pour les étudiants et futurs professionnels de l’industrie du jeu vidéo, comprendre cette influence croissante et savoir comment l’intégrer dans leurs propres créations pourrait devenir un atout majeur pour l’avenir du storytelling numérique. 

 

Azog VS Zombies : défendre un camion à pizza n’a jamais été aussi explosif !

Actualité publiée le 4 September 2025

Dans le cadre du module Game Design 01, les étudiants de première année à l’ICAN relèvent un premier défi de taille : concevoir un jeu complet avec des mécaniques simples mais efficaces. El Ghali Laachoubi signe ici une création déjantée et énergique : Azog VS Zombies, un beat’em all solo où l’on incarne un cyborg armé jusqu’aux dents, chargé de protéger un camion à pizza contre des vagues de zombies affamés.

Une mission urgente : sauver le Payload (et les pizzas)

Le concept est aussi original qu’efficace : le joueur incarne Azog, un cyborg de combat dont la mission est d’escorter un camion à pizza (le Payload) jusqu’à bon port. Ce dernier avance lentement, déclenche des vagues d’ennemis à chaque zone traversée, et devient la cible principale des zombies.

Avec seulement 5 points de vie, Azog n’a pas droit à l’erreur, d’autant que le Payload, avec ses 100 PV, représente le cœur de l’objectif. Si le camion est détruit, c’est la fin de la partie.

 

Des mécaniques de combat simples, mais tactiques

Azog dispose de deux types d’attaques :

  • Un gros coup de poing, directionnel, avec un léger recul de 30 pixels pour appuyer le dynamisme du gameplay et améliorer les déplacements. Il ne peut pas être spammé, car il nécessite la fin de son animation pour être réutilisé.
  • Un lance-roquettes, déclenché dans la direction du viseur. Les roquettes explosent à l’impact, et si Azog se trouve dans l’aire de l’explosion, il est projeté à 100 pixels — sans subir de dégâts. Un effet tremplin bien utile dans les situations d’urgence.

Ce système de recul et de propulsion apporte du gamefeel : chaque attaque a un impact réel sur la position du joueur, renforçant le sentiment de maîtrise et de mobilité fluide.

 

Le Payload au cœur du gameplay

Le camion n’est pas un simple décor. C’est une mécanique centrale :

  • Il déclenche les vagues de zombies.
  • Il impose un rythme au joueur.
  • Il est la cible à défendre, bien plus résistante qu’Azog, mais bien plus lente.

Une idée subtile : le joueur peut volontairement bloquer le camion pour le ralentir, évitant ainsi d’activer les vagues suivantes. Une tactique risquée mais parfois salvatrice.

Autre élément de gameplay intéressant : la flaque de boue en fin de niveau, qui ralentit le camion, le rendant plus vulnérable. Elle oblige le joueur à redoubler d’attention dans les derniers instants de la partie.

 

Des ennemis variés et stratégiques

Le jeu introduit plusieurs types de zombies :

  • Les zombies classiques : lents mais nombreux, ils visent uniquement le camion.
  • Les zombies explosifs : redoutables, ils infligent 4 dégâts au camion et 1 au joueur, tout en le projetant à distance.
  • L’interaction entre zombies elle-même est exploitée : lorsqu’ils se percutent, ils s’étourdissent, ouvrant une brèche pour des éliminations stratégiques.

Ce système donne au joueur un pouvoir d’anticipation, renforçant la dimension tactique du jeu malgré sa simplicité apparente.

 

Une première année déjà explosive à l’ICAN

Azog VS Zombies est une création complète, jouable et rythmée, qui prouve que dès la première année, les étudiants de l’ICAN sont capables de concevoir des expériences ludiques fun, équilibrées et créatives. Entre systèmes de jeu maîtrisés, gamefeel dynamique et concept original, ce projet s’inscrit dans l’ADN pédagogique de l’école : apprendre en créant.

Une preuve concrète que le game design s’expérimente, se teste et s’optimise dès les premières semaines. Et quand il s’agit de sauver un camion à pizza dans un monde apocalyptique… nos étudiants sont manifestement prêts.

De l’illustration 2D au NFT : nouvelles opportunités pour les artistes

Actualité publiée le 3 September 2025

Depuis toujours, l’illustration 2D occupe une place centrale dans l’imaginaire collectif : affiches, bandes dessinées, couvertures d’albums, concept arts pour le cinéma ou le jeu vidéo. Mais depuis quelques années, un nouvel acteur a fait irruption dans le monde de l’art numérique : le NFT. À mi-chemin entre technologie et culture, il a ouvert des horizons inédits pour les créateurs, en bouleversant les codes de la propriété, de la diffusion et de la monétisation. Pour les étudiants et jeunes artistes, comprendre ces changements est crucial afin de se projeter dans un secteur en pleine mutation.

 

 

 

Qu’est-ce qu’un NFT et pourquoi cela concerne les illustrateurs ?

Un NFT (Non-Fungible Token) est un certificat numérique, inscrit sur la blockchain, qui garantit l’authenticité et la propriété d’une œuvre. Contrairement à un simple fichier image qui peut être copié à l’infini, un NFT permet d’identifier de manière unique qui possède l’œuvre originale, même si des copies circulent.

 

Pour les illustrateurs 2D, souvent confrontés à la difficulté de protéger et de valoriser leurs créations, ce mécanisme change la donne. Un dessin, une animation ou un concept art peut devenir un actif numérique unique, revendable et traçable, offrant à l’artiste une nouvelle manière de tirer profit de son talent.

 

Du carnet de croquis à la blockchain

Traditionnellement, un illustrateur 2D diffuse son travail via des expositions, des portfolios en ligne ou des collaborations avec des éditeurs. Avec l’arrivée des NFT, la mise en valeur passe par de nouveaux canaux : plateformes spécialisées comme OpenSea, Rarible ou Foundation, où les artistes publient et vendent directement leurs œuvres numériques.

 

Ce passage n’est pas une rupture totale avec les méthodes classiques : c’est plutôt une extension. Les croquis, les planches ou les illustrations finalisées peuvent désormais exister à la fois comme contenu artistique et comme actifs numériques. C’est une manière de prolonger l’impact d’une œuvre et d’atteindre un public plus large, souvent international.

 

Un marché en pleine effervescence

Le marché des NFT a connu une croissance fulgurante, attirant collectionneurs, investisseurs et amateurs d’art numérique. Des œuvres vendues plusieurs millions de dollars ont fait la une des médias, alimentant à la fois fascination et scepticisme.

 

Pour les jeunes artistes, l’intérêt n’est pas forcément de viser des ventes records, mais plutôt de profiter de cet écosystème pour se faire connaître, fédérer une communauté et générer des revenus complémentaires. Les NFT permettent aussi de percevoir des royalties à chaque revente, une pratique impossible dans le marché traditionnel. Cela signifie que l’illustrateur continue à bénéficier de la valeur de son travail, même longtemps après sa première vente.

 

Une nouvelle relation entre artiste et public

Les NFT ne se résument pas à un simple acte de vente. Ils créent une relation différente entre l’artiste et son public. Acheter un NFT, c’est souvent rejoindre une communauté, soutenir un créateur et accéder à un univers plus large. Certains artistes ajoutent des avantages exclusifs : accès à des œuvres inédites, participation à des événements virtuels, ou encore interaction directe avec le processus créatif.

 

Pour un illustrateur 2D, cela ouvre la porte à une dimension narrative et communautaire. L’œuvre n’est plus isolée, elle s’inscrit dans un écosystème vivant, où les spectateurs deviennent acteurs.

 

Des opportunités mais aussi des défis

Comme toute innovation, les NFT soulèvent des débats.

 

  • Impact environnemental : la consommation énergétique des blockchains reste une question sensible, même si des alternatives plus écologiques émergent.
  • Volatilité du marché : les prix peuvent fluctuer fortement, ce qui rend les revenus incertains.
  • Droits d’auteur : si le NFT prouve la propriété, il ne règle pas tous les problèmes liés à la reproduction ou à l’utilisation commerciale des images.

 

Ces limites doivent inciter les jeunes artistes à rester prudents : se former, expérimenter, mais garder un regard critique sur les outils et les plateformes utilisées.

 

De nouvelles compétences à développer

Passer de l’illustration 2D au NFT ne consiste pas seulement à changer de support. Cela demande de nouvelles compétences, complémentaires à celles de l’artiste :

 

  • Comprendre le fonctionnement des blockchains et des plateformes NFT.
  • Apprendre à présenter et promouvoir ses œuvres auprès d’un public numérique.
  • Développer une stratégie de communication, souvent sur les réseaux sociaux, pour attirer et fidéliser une communauté.

 

Dans cette logique, la formation artistique ne peut plus se limiter aux outils classiques de dessin ou de peinture numérique. Elle doit intégrer les compétences liées au Web3, afin de donner aux créateurs toutes les cartes pour évoluer dans ce nouvel écosystème.

 

 

L’approche pédagogique de l’ICAN

À l’ICAN, nous considérons que l’innovation est une opportunité pour enrichir la créativité des étudiants. L’essor des NFT fait partie de ces révolutions que l’école intègre à sa pédagogie, non pas pour suivre une tendance, mais pour préparer les artistes aux réalités de demain.

 

Les étudiants en illustration et en design numérique explorent les bases du dessin et de la composition, mais aussi les usages concrets des technologies émergentes. Ils apprennent à croiser savoir-faire traditionnels et innovations digitales, à expérimenter de nouveaux formats, et à réfléchir aux enjeux culturels et économiques de leurs pratiques.

 

Ainsi, la formation ne se limite pas à l’acquisition d’outils : elle développe une vision globale, critique et créative de la place de l’artiste dans un monde en constante évolution.

 

Un futur à inventer

De l’illustration 2D au NFT, il ne s’agit pas d’un remplacement mais d’une continuité augmentée. L’artiste garde son regard, sa sensibilité et son univers, mais il dispose désormais de nouveaux leviers pour valoriser et partager son travail.

 

Pour les étudiants et jeunes créateurs, c’est l’occasion unique de prendre part à une révolution culturelle et technologique, en devenant non seulement des illustrateurs, mais aussi des pionniers de l’art numérique du futur.

 

Le défi est double : maîtriser les fondamentaux qui assurent la qualité artistique, et explorer sans crainte les nouvelles opportunités offertes par le Web3 et les NFT. Dans ce mouvement, une certitude demeure : l’art, qu’il soit sur papier ou sur blockchain, reste avant tout une aventure humaine et créative.

 

Stages & alternance : les métiers les plus demandés en design et développement jeu vidéo

Actualité publiée le 27 August 2025

Dans un secteur en constante évolution, l’industrie du jeu vidéo continue d’offrir de nombreuses opportunités pour les étudiants en design et développement. Que vous soyez en Bac+2, Bac+3 ou Bac+5, en recherche de stage, d’alternance, ou de première expérience professionnelle, certains métiers reviennent régulièrement dans les offres du secteur. Voici un panorama des profils les plus recherchés en 2025, basé sur les retours de studios partenaires et les tendances du marché.

  1. Game Designer : l’architecte de l’expérience de jeu

Toujours en haut de la liste, le game designer est recherché pour sa capacité à concevoir les mécaniques de jeu, l’équilibrage, la progression, et l’expérience utilisateur.

Les studios attendent des profils capables d’utiliser des outils comme Unity, Unreal, ou Miro, avec une bonne compréhension du comportement joueur.

 

  1. Level Designer : concevoir des mondes vivants et cohérents

Le level designer est au cœur de la création d’univers jouables. Il est chargé de créer les niveaux, les environnements, et les parcours de jeu.

Une sensibilité à la narration environnementale et une bonne maîtrise de la spatialisation sont de vrais atouts pour décrocher un poste.

 

  1. Développeur Gameplay : entre code et fun

C’est l’un des métiers les plus en tension ! Le développeur gameplay transforme les idées du game designer en éléments jouables concrets. Il programme les mécaniques de jeu, les contrôles, les interactions…

Les profils à l’aise en C++, C#, Unity ou Unreal Engine sont très recherchés en alternance, notamment dans les studios indépendants.

 

  1. UI/UX Designer : au service de la lisibilité et du confort

L’expérience utilisateur est devenue un élément essentiel de tout projet vidéoludique. Les UI/UX designers créent des interfaces claires, immersives et accessibles à tous types de joueurs.

Savoir travailler avec Figma, Illustrator ou Photoshop tout en comprenant la logique du joueur est un combo gagnant.

 

  1. QA Tester / Testeur jeu vidéo : un tremplin vers la production

Moins connu mais très accessible en début de carrière, le poste de QA Tester (Quality Assurance) permet de découvrir le pipeline complet d’un jeu en repérant les bugs et en testant les mécaniques.

C’est souvent un premier pas stratégique pour entrer dans les grands studios ou pour développer une compréhension complète de la production.

 

Bonus : les “plus” qui font la différence

  • Une présence sur ArtStation, GitHub ou Behance bien tenue
  • Des projets personnels ou étudiants solides à montrer
  • Une bonne culture du jeu vidéo et des moteurs de jeu
  • La capacité à travailler en équipe dans un environnement agile

 

 À l’ICAN, nous accompagnons activement nos étudiants

Grâce à notre réseau de partenaires et à notre accompagnement pédagogique, nos étudiants bénéficient d’un cadre privilégié pour trouver des stages et alternances qualifiantes. Que ce soit en design, développement, narration ou animation, nos cursus sont pensés pour répondre aux réalités du marché.

Que faire après un bac quand on aime les jeux vidéo ?

Actualité publiée le 20 August 2025

Si vous êtes passionné de jeux vidéo et que vous vous demandez quoi faire après le bac, vous n’êtes pas seul. De plus en plus d’étudiants cherchent à transformer leur passion en métier. Avec l’ouverture du Bachelor Game Design à l’ICAN Bordeaux, c’est désormais possible dans une ville dynamique et porteuse pour l’industrie du jeu vidéo.

Pourquoi choisir une carrière dans le jeu vidéo ?

Le jeu vidéo est aujourd’hui la première industrie culturelle mondiale, devant le cinéma et la musique. En France, des studios renommés comme Ubisoft, Asobo Studio, ou encore Shiro Games sont à l’origine de créations qui rayonnent à l’international (A Plague Tale, Northgard, etc.).

Ces entreprises recherchent des profils qualifiés, créatifs, capables d’imaginer, de concevoir et de développer des expériences vidéoludiques inédites.

Si vous aimez créer des univers, écrire des scénarios, réfléchir à la mécanique de jeu et travailler en équipe, le game design est un domaine fait pour vous.

 

Étudier à Bordeaux : une ville en plein essor

Bordeaux est bien plus qu’un patrimoine architectural classé ou une destination œnologique. C’est l’un des pôles majeurs du jeu vidéo en France, avec une concentration croissante de studios indépendants et de filiales de grandes entreprises.

Des acteurs comme Ubisoft Bordeaux, installé depuis 2017, participent activement à la création de blockbusters internationaux, à l’image de la licence Assassin’s Creed. Cette présence attire tout un écosystème : entreprises tech, incubateurs, événements e-sport et professionnels du secteur.

Choisir de se former à Bordeaux, c’est s’installer dans une ville dynamique, créative et où l’industrie du jeu vidéo est en plein développement.

 

Le Bachelor Game Design de l’ICAN : une formation complète et professionnalisante

Le Bachelor Game Design de l’ICAN est une formation en trois ans, accessible après le bac, qui vous prépare à tous les aspects de la conception de jeux vidéo :

  • Création de gameplay et de mécaniques de jeu
  • Level design, narration interactive
  • Culture du jeu vidéo et analyse critique
  • Outils de production et gestion de projet
  • Travail en équipe sur des projets concrets

 

Encadré par des professionnels en activité, le programme permet de se constituer un socle de compétences fondamentales permettant d’appréhender la conception de jeux vidéo dans sa globalité. Vous serez amené à monter progressivement en compétences techniques et créatives tout au long des trois années.

A la fin de votre cursus, vous serez capable de réaliser un jeu vidéo complet sur Unity3D.

 

Les débouchés métiers

À l’issue de la formation, les diplômés peuvent prétendre à plusieurs métiers en demande dans le secteur du jeu vidéo :

  • Game Designer
  • Level Designer
  • Narrative Designer
  • Développeur Unity
  • 3D Game Artist

Et pour ceux qui souhaitent aller plus loin, l’ICAN propose également des formations de niveau Mastère, notamment sur le campus de Paris.

 

Après le bac, il est possible de transformer sa passion pour les jeux vidéo en véritable projet professionnel. Le Bachelor Game Design à l’ICAN Bordeaux vous offre une formation de qualité, ancrée dans la réalité du secteur, au sein d’une ville dynamique et connectée à l’industrie. N’attendez plus pour faire de votre passion un métier !

Kill Dem’On : FPS frénétique, gameplay sous pression et démonstration de maîtrise

Actualité publiée le 13 August 2025

Dans le cadre du module Game Design, les étudiants de l’ICAN ont conçu un jeu vidéo d’action à la première personne intense, brutal et extrêmement rythmé : Kill Dem’On. Inspiré des mécaniques nerveuses des fast-FPS classiques (type DOOM ou ULTRAKILL), le jeu repose sur un système central simple mais redoutablement efficace : toutes les actions consomment de l’énergie, et chaque ennemi éliminé en génère. Résultat ? Pour survivre, il faut enchaîner, s’adapter, et rester constamment en mouvement.

Un système de jeu basé sur la maîtrise pure

 

Ici, pas d’objets magiques ni d’upgrades passifs. La progression ne dépend que d’une chose : la capacité du joueur à comprendre et maîtriser les mécaniques du jeu. Plus vous jouez, plus vous devenez fort – non par accumulation, mais par performance. Chaque saut, chaque dash, chaque tir doit être pensé stratégiquement : l’énergie s’épuise vite, mais se régénère en tuant… Il faut donc attaquer pour rester en vie.

Le joueur doit tuer 1000 ennemis, puis affronter un boss final qui rompt complètement le rythme établi. Ce duel marque un tournant : d’un jeu d’endurance basé sur la gestion d’énergie, Kill Dem’On bascule vers un combat de précision et de concentration maximale.

 

Design intentionnel et expérience viscérale

 

Kill Dem’On n’est pas un FPS comme les autres. Il a été pensé comme une expérience cathartique, où le plaisir du mouvement, le feeling des armes et la violence visuelle et sonore se combinent pour produire une sensation de puissance extrême. Le jeu encourage l’audace, le chaos, la prise de risque, et offre une montée en tension organique : le joueur passe du simple instinct de survie à la domination totale.

La présence d’un leaderboard en fin de session renforce cette boucle de gameplay. Les joueurs peuvent évaluer leur performance, la comparer, et rejouer pour optimiser leur score, ajoutant une vraie dimension compétitive et addictive.

 

Ennemis et univers : un terrain de carnage stylisé

 

L’univers visuel de Kill Dem’On est un enfer organique, rougeoyant, sale, oppressant. Il ne cherche pas à effrayer, mais à créer un terrain de jeu chaotique, digne d’une créature surnaturelle. La direction artistique combine effets pixellisés, posterize, dithering… pour un rendu aussi brut que lisible, où chaque impact a du poids.

Mais ce sont les ennemis qui font vivre le gameplay :

  • Jumpy Cuby : ennemi de base, rapide et en groupe. Peu dangereux seul, mais oppressant en meute.
  • Banshee : ennemi volant, force le joueur à adapter ses mouvements et à maîtriser la verticalité.
  • Dashoot : harcèlement à distance, pousse au déplacement constant.
  • OunOun : tank lent, menace massive, impose une stratégie de contournement ou d’assaut.
  • FeedSeed : point de régénération stratégique, déclenche des choix cruciaux au fil de la partie.

Chaque ennemi n’est pas juste un obstacle, mais une variable stratégique : un carburant ou une menace, selon votre niveau de maîtrise.

 

Une création 100% étudiante encadrée par l’ICAN

 

Ce projet a été réalisé par Denis Hottin, Yoann Barbosa, Arthur Lunais, Raphaël Alun, Léo Chevance et Loïc Ding, avec une bande-son signée Alexis Lambert. Il incarne l’ambition pédagogique de l’ICAN : concevoir des jeux aboutis, exigeants et originaux, à la fois sur le plan technique, artistique et narratif.

Kill Dem’On est la preuve que nos étudiants ne se contentent pas de reproduire des modèles : ils expérimentent, testent, affinent, et proposent des visions ludiques fortes et singulières.

Tendances du design graphique 2025 : entre nostalgie pixel et réalités augmentées

Actualité publiée le 5 August 2025

Le design graphique ne cesse d’évoluer, porté par les innovations technologiques et les réinventions culturelles. En 2025, deux tendances phares s’imposent : un retour assumé à l’esthétique rétro-pixel et l’essor de la réalité augmentée (AR) comme nouvelle scène d’expression graphique.

Le pixel-art revisité : la nostalgie repensée

À l’heure où les générations Z et Alpha découvrent les débuts du jeu vidéo via les émulateurs, le pixel-art revient en force. Mais loin de se contenter de copier le passé, les designers y injectent de la profondeur, des effets de lumière subtils, et une narration visuelle moderne. On parle de “post-retro design” : un style pixelisé techniquement maîtrisé, souvent combiné à des interfaces web ou des visuels animés ultra-contemporains.

 

Couleurs vibrantes et dégradés organiques

En opposition au flat design minimaliste des années 2010, 2025 est l’année des couleurs franches, des palettes saturées et des dégradés “fluides”. Inspirés par les mondes virtuels, ces choix chromatiques évoquent le numérique pur, mais aussi l’émotion. Le neon pastel ou le cyber organic font leur apparition dans les identités visuelles des marques et les interfaces UI/UX.

 

Typographies expressives et modulables

Le texte n’est plus simplement lisible : il devient personnage visuel. En 2025, les designers optent pour des typos sur-mesure, animées ou interactives. Les polices variables, déjà explorées par les grandes agences, deviennent un terrain de jeu étudiant, mêlant code, mouvement, et composition graphique.

 

L’impact de la réalité augmentée sur le design

La réalité augmentée pousse les graphistes à repenser les formats. L’interface ne se limite plus à un écran : elle se superpose au réel. Cela implique de concevoir en volume, en mouvement, et avec une logique de spatialisation. Designs AR pour mobile, branding immersif, affichage interactif dans l’espace public : autant de pistes en développement dans les formations à l’ICAN.

 

Entre nostalgie et futurisme

Ce qui ressort des tendances 2025, c’est cette tension créative entre passé et futur. Le pixel nous ancre dans une mémoire collective, tandis que l’AR et les outils immersifs nous propulsent dans des univers inédits.

 

À l’ICAN, ces tendances ne sont pas seulement observées, elles sont intégrées dans les cursus. Que ce soit en design graphique, motion design, ou UI/UX, nos étudiants sont formés à maîtriser les outils professionnels les plus récents, tout en développant un regard créatif et engagé. L’exploration des esthétiques rétro, des univers immersifs et des nouvelles technologies (IA, réalité mixte, spatial computing…) fait partie intégrante de notre pédagogie.

Carte interactive VivaTech : un projet étudiant entre design vectoriel et expérience utilisateur

Actualité publiée le 29 July 2025

Dans le cadre du cours Webdesign, les étudiants de l’ICAN ont relevé un défi technique et créatif : réaliser une carte vectorielle interactive mêlant graphisme et programmation. Le projet, encadré par Nicolas Gervais, a permis de conjuguer compétences en Illustrator, Figma ou encore HTML/CSS/JS, autour d’une thématique libre, mais avec des exigences précises en termes de design UX et de signalétique complète.

Le cas VivaTech : innovation et pédagogie au cœur du projet

Pour illustrer parfaitement l’enjeu, Noa Dufresne a choisi de travailler sur une carte dédiée à VivaTech, salon international dédié à l’innovation technologique. Ce choix fictif mais pertinent, incarne les valeurs d’accessibilité, d’interaction et de découverte que devait porter la création.

Sa carte interactive se veut à la fois :

  • Informative : en structurant clairement les espaces thématiques du salon,
  • Interactive : grâce à une navigation dynamique, adaptée aux usages numériques modernes, pour une exploration fluide sur grand écran ou borne tactile.

 

Une démarche graphique pensée UX/UI

Noa a adopté une approche visuelle épurée, s’appuyant sur un moodboard fermé et une perspective isométrique. Les formes géométriques simples suggèrent relief et profondeur sans surcharge, tandis qu’une palette de couleurs unies, contrastées et harmonieuses assure une excellente lisibilité.

Le style minimaliste favorise une compréhension rapide des zones, tout en donnant à la carte une esthétique moderne, en adéquation avec l’identité innovante de VivaTech.

 

Un processus itératif pour un rendu optimal

Le travail a suivi un cheminement précis :

  • Modélisation vectorielle sous Illustrator,
  • Import et retouches dans Photoshop pour enrichir le rendu,
  • Plusieurs itérations graphiques pour affiner l’identité visuelle et la cohérence globale.

La version finale repose sur un système isométrique garantissant lisibilité à toute échelle. La carte est organisée en quatre niveaux, chacun dédié à une grande thématique, avec un choix de couleurs et une typographie Stolzl contemporains et adaptés à l’usage.

 

L’ICAN, un laboratoire d’innovation graphique et interactive

Ce projet illustre parfaitement la volonté de l’ICAN d’enseigner les compétences actuelles du design numérique, où graphisme, ergonomie et technologies web s’entremêlent pour créer des expériences engageantes, à la pointe des attentes des métiers du design digital.

École de jeux vidéo à Bordeaux : pourquoi choisir l’ICAN ?

Actualité publiée le 23 July 2025

Vous rêvez de travailler dans le monde du jeu vidéo ? Vous recherchez une école à Bordeaux capable de vous former aux métiers de la création de jeux ? L’ICAN vous ouvre les portes de cette industrie avec son Bachelor Game Design, désormais disponible sur son campus bordelais. Une opportunité unique de vous former dans une ville reconnue pour son dynamisme dans le secteur.

Une école de jeux vidéo à Bordeaux, au cœur de l’industrie

Bordeaux s’impose aujourd’hui comme l’une des villes les plus attractives pour les métiers du numérique et du jeu vidéo. Des studios comme Ubisoft Bordeaux, Asobo Studio (A Plague Tale), ou encore Shiro Games (Northgard) y sont installés, créant un véritable écosystème vidéoludique.

En choisissant une école spécialisée dans le jeu vidéo à Bordeaux, vous vous formez au plus près des entreprises qui recrutent. Vous profitez également d’un environnement stimulant : salons, conférences, e-sport, incubateurs et événements professionnels rythment la vie étudiante.

 

L’ICAN, une école de jeux vidéo engagée pour la création

L’ICAN est une école reconnue pour ses formations en game design, animation 3D et web design. Grâce à son Bachelor Game Design, l’ICAN propose une approche concrète du game design, pensée pour préparer les étudiants aux réalités du marché.

En trois ans après le bac, vous apprendrez à :

  • Concevoir un gameplay
  • Écrire des mécaniques et des scénarios interactifs
  • Imaginer des univers cohérents et immersifs
  • Travailler en équipe sur des projets de jeux
  • Utiliser les outils de production les plus utilisés dans les studios (Unity, Unreal Engine, Blender…)

Le programme allie théorie et pratique, avec des projets concrets et un encadrement par des experts du secteur.

 

Une école connectée à l’écosystème local

Grâce à son implantation en plein centre de Bordeaux, l’ICAN développe des liens avec les studios locaux, permettant aux étudiants de participer à des rencontres professionnelles, des stages ou des projets en partenariat avec l’industrie. La ville est également riche en événements : Indie Game Factory, Utopiales, etc.

La proximité avec des acteurs de référence comme Ubisoft ou Shiro Games facilite l’insertion professionnelle et l’immersion dans le milieu du jeu vidéo.

 

Pourquoi choisir l’ICAN Bordeaux comme école de jeux vidéo ?

  • Une implantation dans une ville dynamique, au cœur de l’écosystème jeu vidéo
  • Un programme professionnalisant dédié au Game Design
  • Des intervenants issus de l’industrie du jeu vidéo
  • Des projets concrets dès la première année
  • Des débouchés métiers variés

Si vous êtes à la recherche d’une école de jeux vidéo à Bordeaux, l’ICAN est le choix idéal pour vous former au game design tout en évoluant dans un environnement propice à la création et à l’innovation.

Rejoignez le Bachelor Game Design à l’ICAN Bordeaux et lancez votre avenir dans le jeu vidéo !

Robot Mascotte ICAN

Cette école fait partie du groupe Réseau GES
Établissement d'Enseignement Supérieur Privé
Dernière mise à jour : Septembre 2025

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Cette école fait partie du groupe Réseau GES
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Dernière mise à jour : Septembre 2025

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