Suite à l’annonce de M. Jean-Yves LE DRIAN, ministre de l’Europe et des affaires étrangères, les frontières européennes extérieures sont vouées à rouvrir dès le 1er juillet, de même que les services consulaires français.

Dans un communiqué de presse, il a été annoncé que :

« Compte tenu des enjeux d’attractivité universitaire, les étudiants internationaux seront autorisés, quel que soit leur pays d’origine, à venir en France et les modalités de leur accueil seront facilitées. Leurs demandes de vi sas et de titres de séjour seront tr a itées en priorité. »

Aussi, pour intégrer l’ICAN, vous devez si ce n’est déjà fait candidater, puis en cas d’admission, finaliser votre inscription afin d’être en mesure de nous rejoindre pour la rentrée de septembre !

L’ICAN organise une conférence online mardi 23 juin à 18h00, sur le thème « comment faire évoluer un genre tout entier sans en trahir les fondamentaux ? », animée par William Dyce, Senior Game Designer chez Amplitude Studios.

Pour accéder à la conférence, merci de cliquer ici.

La plupart des concepteurs de jeu rencontrent des contraintes liées à la propriété intellectuelle ou au genre d’un jeu vidéo.

La question se pose donc : comment innover sans aliéner une communauté existante ? Comment rassurer les fans d’une série que l’ADN n’a pas été corrompue, tout en leur offrant assez de nouveautés pour éviter qu’ils ne se lassent ?

William Dyce, fort de son expérience chez Amplitude Studios, propose une petite balade « omphaloskepsique » autour de ce dilemme, en passant par de jolies images de synthèses fractales, des références à Doom et un peu de théorie algorithmique de l’information.

William Dyce a suivi une formation en informatique. Suite à une boulimie de game jams et quelques années passées en programmation gameplay, il réussit finalement à s’infiltrer chez Amplitude Studios en 2015, en tant que concepteur IA.

Depuis, il a travaillé sur divers expansions d’Endless Legend, sur Endless Space 2 et, dernièrement et par-dessus tout, sur Humankind. Maintenant Senior Designer, il s’occupe des systèmes militaires et diplomatiques du jeu.

Le secteur du design 3D et de l’animation représente aujourd’hui un véritable vivier d’emplois. Il génère en effet une multitude de postes au sein de l’industrie de la création numérique, notamment dans le domaine des jeux vidéo, mais aussi dans celui des films et des dessins animés. Pour prétendre à ce type d’emplois, il est préférable de justifier d’une formation spécialisée, et c’est pourquoi de nombreux étudiants décident d’intégrer un Mastère spécialisé en animation 3D. Quelles sont les modalités requises pour accéder à ce cursus ?

Des compétences pré-requises

Accessible à partir du niveau bac+3, le Mastère en animation 3D est une formation pointue, qui exige de posséder de solides bases. Si un étudiant venant d’obtenir son baccalauréat aspire à intégrer ce genre de cursus à l’avenir, il lui est donc vivement conseillé de choisir, d’ores et déjà, une formation bac+3 en rapport avec ce domaine. En effet, sans le socle de connaissances requises en Arts Numériques, ce type de mastère se révèlerait trop technique, d’autant plus qu’un certain niveau d’autonomie est attendu de la part de l’étudiant.

Certaines écoles proposant un Mastère Animation 3D Temps Réel comme l’ICAN, offrent la possibilité de suivre au préalable un cursus Bachelor Design 3D et Animation, qui prépare spécifiquement l’étudiant à l’intégration de ce mastère. Immergé dans l’univers de l’animation 3D et du Design, il est alors en mesure d’acquérir de nombreuses connaissances indispensables pour détenir le niveau requis en mastère. L’étudiant reçoit ainsi des enseignements portant sur la culture visuelle, le motion design, le design interactif, le développement 3D…

Quel est le profil d’un professionnel du design 3D et de l’animation ?

Tout d’abord, l’expert en 3D et en animation doit impérativement être de nature créative étant donné que la plupart des métiers de cette branche nécessitent des qualités d’illustrateur. Il ne suffit toutefois pas d’être un excellent dessinateur pour exercer dans ce domaine. À l’ère du digital, un professionnel de la 3D et de l’animation doit bien évidemment démontrer une réelle aisance avec le domaine informatique.

Le métier d’animateur 2D ou 3D, par exemple, exige une manipulation experte de certains outils informatiques utilisés pour l’illustration. Ce professionnel se doit donc d’être aussi bien à l’aise en dessin qu’en dessin digital, car il se sert de différents logiciels pour travailler sur la mise en volume. Dans ce contexte, une connaissance parfaite de nombreux outils, tels qu’InDesign, Character Studio ou encore Maya, est indispensable.

Le Mastère Design 3D et Animation donne accès à des débouchés variés, tels que Modeleur 3D, Motion Designer, Directeur Artistique, VFX Compositeur…

L’intégration d’un Mastère spécialisé en animation 3D constitue donc une excellente option pour les étudiants amateurs d’Arts Numériques. Elle leur permet d’accéder à de nombreux métiers dans un univers qui les passionne, avec une rémunération attractive à la clef.

L’ICAN organise une conférence online sur le thème « Du jeu vidéo à la peinture, de la peinture au jeu vidéo », animée par Martin Goldschmid, Alumni ICAN et CEO de Mirari Games

Rendez-vous mardi 16 juin de 18h00 à 19h00 en cliquant ici.

Pour mieux comprendre comment l’univers du jeu Mirages d’Hiver s’est formé à partir d’un nuage d’idées simples, Martin Goldschmid va tenter de retracer le chemin qui a mené à la création de ce jeu.

Martin Goldschmid est un créateur de jeux poétiques et indépendants. En 2015, à la suite d’études en game design à l’ICAN et 3D, il commence à travailler sur la série de jeux d’aventure Mirages. En 2017, il fonde le studio parisien Mirari Games qui a permis de rassembler une équipe de créateurs de jeux qui partagent cette envie de création

Relativement peu connu du grand public, le métier de Testeur QA fait partie des professions essentielles dans le secteur du numérique. À l’heure actuelle, il fait l’objet d’une demande croissante sur le marché de l’emploi et propose une rémunération attractive. En quoi consiste ce métier, et quelles compétences requiert-il ?

Les missions du Testeur QA

La principale mission du Testeur QA (pour « Quality Assurance ») est de tester les bugs d’un logiciel ou d’une application avant sa commercialisation. Il est donc garant de la qualité et de la conformité d’un produit puisqu’il a la responsabilité de vérifier tous ses paramètres, à la recherche d’éventuelles anomalies. Le Testeur QA représente le client de l’entreprise. À ce titre, il s’assure que le logiciel développé soit bien conforme à ses exigences.

Concrètement, son travail se divise en différentes étapes. Dans un premier temps, il procède à la vérification de l’ensemble d’un logiciel avant sa mise en vente sur le marché, en testant ses différentes fonctionnalités. Il conçoit lui-même les tests à effectuer, avant de les rédiger, de les installer, et de les exécuter. À l’issue de ces tests, il suggère différentes modifications aux développeurs, avec qui il travaille en étroite collaboration, afin de leur permettre d’améliorer le logiciel. Enfin, il s’assure que ses suggestions ont bien été intégrées dans le travail des développeurs, dans le respect du cahier des charges.

Le Testeur QA peut être amené à exercer dans une grande variété de secteurs. Il existe un fort besoin dans le secteur des jeux vidéo, de la création d’application ou de sites web, mais les compétences du Testeur QA sont également prisées dans une multitude d’autres domaines (industrie automobile, objets connectés, etc.).

Très recherchée, la profession de Testeur QA est également très technique, c’est pourquoi elle est gratifiée d’un salaire élevé. En début de carrière, le Testeur QA affiche, en moyenne, un salaire de 2000 euros mensuels, et ce montant peut rapidement évoluer.

Quelles sont les qualités requises pour devenir Testeur QA ?

Incontournable pour de nombreuses entreprises, le métier de Testeur QA nécessite un haut niveau de qualification technique. En effet, le Testeur QA doit connaître parfaitement les différentes étapes du développement logiciel. Il doit posséder l’expertise suffisante pour comprendre les problématiques repérées pendant les tests, tout en étant capable de les retranscrire le plus clairement possible.

Autrefois assez ouvert aux profils autodidactes, le métier de Testeur QA est de plus en plus reconnu. Il offre de réelles opportunités de carrière pour des postes tels que Manager d’Equipe Technique ou Directeur Technique. Dans cette optique, il est vivement conseillé de suivre une formation spécialisée. Certaines écoles de la création numérique et du jeu vidéo, comme l’ICAN, proposent des cursus en Game Design, qui permettent d’acquérir toutes les compétences indispensables à cette profession.

Encore méconnu du grand public, le métier de Testeur QA incarne aujourd’hui une excellente opportunité de carrière pour les étudiants passionnés de nouvelles technologies et de jeux vidéo. D’importantes connaissances sont toutefois requises pour exercer cette profession, et c’est pourquoi il est conseillé de s’orienter vers une formation technique, au sein d’un établissement spécialisé en création numérique.

Envie de découvrir le savoir-faire pédagogique de l’ICAN ? Ne manquez pas l’atelier de découverte qui vous permettra de comprendre les bases du fonctionnement d’un site internet, et de la conception des pages web en HTML et CSS.

Rendez-vous vendredi 12 juin de 17h30 à 18h30 en cliquant ici !

L’ICAN organise une conférence online sur le thème ” Singer la vie, le souffle et la psyché “, animée par Jonathan Pêpe, mardi 09 juin de 18h00 à 19h00.

Pour accéder à la conférence, merci de cliquer ici.

C’est dans une atmosphère médicale, aux abords de la science-fiction cyberpunk que Jonathan Pêpe met en scène des formes alliant la robotique à l’organique, sondant notre rapport intime aux nouvelles technologies.

Jonathan Pêpe a été formé aux Beaux-Arts de Bourges puis au Fresnoy. Il expose aujourd’hui des dessins, des vidéos, des installations et des films. En axant ses recherches sur la distinction entre le vivant et le non-vivant, il questionne la relation de l’humain à l’outil.

En mars dernier s’est tenue ma nouvelle édition du Hackathon « GES Innovation Week ». Cet événement a réuni 150 étudiants de 5 écoles : ICAN, ECITV (école supérieure spécialisée en marketing digital et communication audiovisuelle), ESGI (école supérieure d’informatique), Studio Créa (école supérieure de graphisme, design et architecture d’intérieur) et de PSVA (école supérieure de communication visuelle et de design numérique).

L’objectif ? Une mise en commun de compétences complémentaires et un travail collaboratif au service d’une problématique commune, celle de l’Agence 148. En effet, cette agence de communication digitale cherche à créer un outil de gestion pour faciliter la coordination avec un réseau de partenaires de l’agence. Un vrai travail collaboratif réalisé par ces étudiants d’école du Réseau GES, qui a permis l’émergence de nouveaux concepts novateurs.

Défi n°1 : répondre au brief de l’agence en un temps record !

Dans un contexte de croissance d’opportunité de business, l’Agence 148, une agence de communication digitale parisienne de 20 personnes, cherche à constituer une nouvelle offre : la mise en relation de son réseau de partenaires « Les Agents du Web (ADW) ».

Dans l’incapacité de travailler sur tous les projets qu’on lui propose, l’Agence 148 souhaite créer un réseau de partenaires : « Les Agents du Web (ADW) » de lui faire bénéficier de ses méthodes de travail, de sa stack technique, afin de pouvoir déléguer une partie du flux de projets. Afin de garder une qualité cohérente dans les projets qui seront traités par les agents, l’Agence 148 souhaite sélectionner et former ces fameux agents.

Pour mettre en place les ADW, leur présence en ligne et l’outil de gestion des agents, l’agence 148 a soumis le projet aux étudiants des écoles du Réseau GES dans le cadre de ce Hackathon. En 5 jours de travail intenses les étudiants ont pu présenter leurs propositions par équipe.

Défi n°2 : mettre en commun des compétences techniques // stratégiques // créatives

Chaque équipe était constituée de développeurs web, de marketeurs et de designers. Ensemble, les étudiants ont pu apprendre le travail collaboratif, un point déterminant pour gagner en maturité et professionnalisme. Travailler avec des étudiants ayant des compétences très différentes leur permet de se dépasser, de se découvrir et de se projeter dans leur futur professionnel.

Ceci est particulièrement vrai pour les étudiants de l’ICAN qui se destinent à des métiers en lien avec le design, le web et le digital. Des métiers qui requièrent des compétences créatives, mais aussi l’aptitude de répondre à un besoin, et savoir gérer un projet dans sa dimension collaborative.

Le monde du numérique est en évolution constante, et pour s’adapter à ces changements permanents, de nouveaux métiers du digital émergent chaque année. Quelles sont les principales activités du digital pour l’année 2020 ?

Des métiers aux qualifications techniques

Véritable expert en langage informatique, le développeur web est indispensable aux entreprises en 2020. En effet, il a pour mission de concevoir des programmes et de gérer des interfaces : il créé, il écrit, il teste et il documente les sites internet. C’est grâce à son travail que les entreprises peuvent établir un contact avec leurs internautes.

La profession d’UX Designer (User Expérience) peut également être citée parmi les métiers du digital les plus demandés sur le marché en 2020. L’UX Designer a la tâche délicate de concevoir des interfaces les plus ergonomiques possibles, afin d’optimiser l’expérience utilisateur et de fidéliser les clients d’une société. Concrètement, sa mission de designer est de permettre la navigation la plus agréable possible sur différents types de plateformes, tout en créant un storytelling cohérent avec l’identité de la marque.

Des métiers du digital orientés vers le marketing

La profession de Chef de Projet Digital est également très prisée dans le contexte actuel. Le chef de Projet est en effet responsable de la stratégie de communication digitale des entreprises, et c’est lui qui décide de quelle manière sont gérés les contenus diffusés par la société. Son objectif est de mettre en place une stratégie de communication optimale afin de bénéficier de la meilleure e-reputation possible.

Les métiers du digital incarnent des leviers indispensables pour les entreprises qui souhaitent se développer de manière optimale. Il est donc logique que le secteur du numérique constitue un véritable vivier d’emplois, mais pour être recruté, un important niveau de qualification est exigé de la part des employeurs. A ce titre, L’ICAN propose différents types de cursus spécialisés dans ce domaine, notamment avec les filières Web & Digital et UX design. Avec des diplômes reconnus par l’Etat, les formations de l’ICAN vont jusqu’au niveau bac+5 et permettent à l’étudiant de se spécialiser dans le domaine de son choix.

Le métier d’UX Designer fait aujourd’hui partie des professions du digital les plus sollicitées par les employeurs. Cette spécialisation est relativement récente, car l’UX designer, ou User Expérience Designer, est une évolution du poste de webdesigner. Concrètement, quelles sont les principales missions d’un UX designer ?

Simplifier l’expérience utilisateur

L’UX Designer est un concepteur d’interfaces numériques, et sa démarche est concentrée sur l’expérience utilisateur. En effet, dans le contexte de révolution numérique actuel, il est devenu indispensable que les différentes applications ou objets connectés utilisés au quotidien soient conçus de la manière la plus intuitive possible. Toutes ces avancées technologiques sont créées pour permettre un gain de temps, et c’est pourquoi la qualité de l’expérience utilisateur ( ou User Experience) est un critère déterminant pour les entreprises. Une mauvaise expérience utilisateur, due par exemple à une application trop complexe ou trop lente à charger, aurait effectivement de fortes probabilités de décourager l’utilisateur, et pourrait même l’inciter à se diriger vers une application concurrente.

Ainsi, la principale mission de l’UX Designer est d’optimiser l’expérience utilisateur au maximum, afin que la requête de l’usager soit la plus fluide et la plus satisfaisante possible. Il est préalablement briefé par le chef de produit et doit ensuite identifier quels sont les principaux objectifs du projet. Sa mission est d’élaborer un concept global, afin d’optimiser l’expérience client sur une application, un site web, ou tout autre type de système numérique. La pertinence de sa stratégie doit permettre de fidéliser la clientèle, au travers d’un contenu numérique attractif, esthétique, et ergonomique. Très créatif, il doit chercher à optimiser les contenus en permanence.

Tester ses processus

Pour s’assurer de l’efficacité de son dispositif, l’UX Designer doit procéder à de nombreuses vérifications. Une des principales missions de l’UX Designer est de contrôler les processus qu’il a mis en place, tout en continuant de réfléchir à des solutions pour les faciliter. Il est donc indispensable d’avoir des qualités d’observateur pour devenir UX Designer, car il faut savoir analyser les comportements et les attentes des utilisateurs.

Les missions de l’UX Designer sont donc variées et pour les remplir, une maîtrise experte de certains outils et logiciels s’impose. En effet, il convient d’avoir des connaissances en architecture de l’information, en design interactif, ainsi qu’en marketing digital et en communication. Il est donc conseillé de suivre un cursus spécialisé, idéalement dans une école de design. L’ICAN offre par exemple la possibilité d’intégrer une formation exclusivement consacrée à l’étude de l’UX Design, via un Bachelor et un Mastère spécialisés. La formation de l’étudiant se fait en alternance, et il peut ainsi acquérir toute la technicité et le professionnalisme nécessaires au poste d’UX Designer.

La principale mission de l’UX Designer est donc de mettre toutes ses compétences techniques et analytiques en œuvre pour anticiper les besoins de l’utilisateur et le fidéliser. Il est donc impératif d’avoir des compétences élevées dans différentes disciplines pour devenir UX Designer, et c’est pourquoi il est préférable de suivre une formation spécialisée dans ce domaine.