Pour son projet de fin d’année, Louis David étudiant en Bachelor d’Animation 2D/3D a réalisé un shortcut en animation 2D d’environ 1 minute du film « Le Nom de la rose ». Un travail ambitieux qui revisite l’œuvre de Jean-Jacques Annaud, elle-même inspirée du roman éponyme d’Umberto Eco.

Ce projet transpose les mystères médiévaux dans un univers animé, tout en conservant l’essence sombre et énigmatique de l’histoire.

Découvrez en plus à travers cet article.

Une réinterprétation sombre et symbolique

Le scénario du film suit l’histoire de moines se rendant dans une abbaye où des meurtres mystérieux se multiplient autour d’un grimoire interdit. Cette intrigue est accentuée dans le shortcut par un traitement graphique particulier. Les personnages grotesques amplifient l’ambiance inquiétante du récit. Inspiré par les caricatures de Gotlib et les créations sombres de Mike Mignola, le character design fusionne le burlesque et l’effrayant. Le but étant de susciter des émotions contrastées chez le spectateur.

Les décors, quant à eux, jouent un rôle essentiel dans la mise en scène de cette atmosphère pesante. Les aplats noirs et les formes simples du monastère renforcent l’impression d’un lieu où règnent l’obscurité et le mystère. En exagérant certains éléments architecturaux, les décors résonnent avec les traits grotesques des personnages. Ainsi, le style visuel distinctif plonge le spectateur dans une atmosphère oppressante et déstabilisante. Le tout en explorant les thématiques profondes du film original.

L’intention derrière cette adaptation est claire : rester fidèle à la trame principale du film tout en accentuant les éléments qui suscitent la réflexion.

Un direction artistique contrastée et évocatrice

Dans ce projet, le travail sur les couleurs est également remarquable. Louis David a opté pour une palette monochrome sobre et désaturée. Le choix étant de rester en adéquation avec l’ambiance médiévale et austère du récit. Ce choix de couleurs met en avant l’histoire et les personnages, tout en créant un contraste visuel fort. En effet, c’est le cas lorsque des touches plus colorées apparaissent dans des moments clés comme le rouge du sang ou encore l’orange des flammes. Ces éclats de couleur attirent l’attention du spectateur sur des éléments narratifs importants, accentuant ainsi la tension dramatique.

Les logiciels tels que TVPaint, After Effects, Photoshop et DaVinci Resolve ont permis de donner vie à cette vision artistique. Ils donne la possibilité de combiner des techniques traditionnelles d’animation avec des outils numériques modernes. La bande sonore, composée par J.S. Bach ajoute une dimension musicale à l’ensemble pour renforcer les sentiments transmis.

En somme, cette adaptation en animation 2D témoigne de la capacité de l’animation à revisiter des œuvres cinématographiques classiques sous un nouvel angle, tout en préservant leur essence. Le shortcut offre une vision unique et intrigante du film, grâce à un style visuel distinctif et une narration soignée. Ce projet souligne également l’importance de l’animation comme moyen d’expression artistique, capable de transcender les limites du cinéma traditionnel.

Si vous souhaitez visionner l’animation complète, consultez le site du Studio ICAN.

Pour les étudiants intéressés par ce type de réalisation, le Bachelor Animation 2D/3D de l’ICAN offre une formation complète qui permet de maîtriser les outils et techniques nécessaires pour créer des œuvres animées de haute qualité. Grâce à un programme riche et diversifié, les étudiants y développent leur propre vision artistique.

Dans le cadre de leur 2ème année en Bachelor Game Design à l’ICAN, Lise CALMELET, Nathan MODESTE, Antoine VACHERIE et Baptiste Moreau ont développé un jeu vidéo du nom de Deep Dive Repair. Le jeu vous plonge dans les profondeurs des océans où vous devrez, aux côtés de votre robot-équipier, sauver des équipages en détresse. 

L’objectif est simple : maintenir votre sous-marin en état de marche tout en évitant la panique qui menace de tout faire chavirer. 

Un jeu vidéo de stratégie et d’aventure coopératif 

Deep Dive Repair est un jeu qui vous plonge dans un monde post-apocalyptique submergé par les océans. Les survivants ont dû s’adapter à ce nouvel environnement aquatique. C’est pourquoi, vous incarnez une équipe de robots réparateurs, prêts à intervenir pour aider des sous-marins en difficulté. Les situations critiques sont votre quotidien, et il vous faudra garder votre sang-froid malgré la panique ambiante. 

Le jeu est un party game coopératif en 2D conçus pour deux joueurs. Il combine des éléments de plateforme avec une vue en coupe. Les joueurs doivent accomplir diverses tâches de réparation pour maintenir l’intégrité du sous-marin. Les contrôles sont simples et intuitifs, chaque interaction se faisant avec le même bouton. Ce choix est un choix stratégique permettant à tout le monde de prendre le jeu en main facilement. 

Pour pouvoir accomplir vos missions et gagner, la coopération est essentielle. Vous pouvez donc lancer des objets et vos coéquipiers pour atteindre des zones inaccessibles. Le jeu est conçu pour être frénétique et chaotique, reflétant la panique et l’urgence de la situation. 

Une expérience visuelle et sonore unique 

L’univers de Deep Dive Repair est volontairement cartoonesque et amusant afin d’attirer un large public. Chaque niveau offre une nouvelle palette de couleurs et un nouvel équipage à sauver, rendant chaque partie captivante. Les avatars des robots, mélange de boîte à outils, radio, pile et capsule de sauvetage, ajoutent une touche d’originalité et de charme. 

Les couleurs bleu et orange, associées à l’univers marin, sont utilisées pour distinguer les deux joueurs, tandis que le vert neutre du robot balle le rend facilement visible. Le design du menu, mélange de 2D et 3D, est en parfaite harmonie avec la direction artistique du jeu.

Le sound design joue également un rôle crucial. Il permet en effet, de renforcer l’aspect cartoonesque et l’urgence des situations. La musique évolutive s’adapte aux différents niveaux d’urgence, tandis que les effets sonores exagérés fournissent des feedbacks clairs aux joueurs. Les voix des personnages ajoutent une dimension comique et enrichissent ainsi l’expérience de jeu. 

Le rôle de la formation en Game Design à l’ICAN 

Deep Dive Repair est une belle démonstration de l’expertise et de la créativité des étudiants de l’ICAN. Ce projet est le fruit d’une collaboration entre étudiants, ayant mis en commun les multiples compétences apprises en Bachelor Game Design. En passant par l’apprentissage d’un panel de compétences créatives et techniques, ils sont capables de créer des jeux vidéo de A à Z.  

Si vous êtes passionné par le jeu vidéo et souhaitez développer vos talents dans un environnement stimulant et créatif, l’ICAN est le lieu idéal pour vous. Rejoignez-nous pour vous aussi créer des jeux vidéo uniques ! 

Nicolas Tilly est un designer interactif et développeur créatif. Fort de plus de quinze ans d’expérience, il intervient à l’ICAN pour dispenser divers cours. Son but, transmettre son savoir à nos étudiants.

Au fil des années, il s’est spécialisé dans le numérique, notamment dans les sites web, les interfaces, le motion design et le jeu vidéo. C’est pourquoi, il intervient principalement dans les filières Web & Digital et Jeu Vidéo.

Crédits : Subbteranean Dreams – Nicolas Tilly

Une démarche créative plurielle

La démarche créative de Nicolas Tilly se distingue par la combinaison de plusieurs disciplines. Celle-ci mêlent par exemple, travail sonore, visuel, graphique et animation d’interfaces. Son objectif est de créer des expériences uniques et immersives pour les utilisateurs.

Par exemple, son récent projet, “Subterranean Dreams“, illustre parfaitement cette approche. Ce site primé dans la catégorie « Innovation Digitale » de la 55^ème édition du Club des D.A, combine toutes sortes d’éléments interactifs. Animations originales, sons ambiants, graphismes uniques et images en 3D inspirées de visuels scientifiques permettent de créer une expérience immersive et novatrice.

En parallèle, Nicolas Tilly s’intéresse également à l’intelligence artificielle. Bien que non centrale dans sa démarche, elle joue un rôle significatif. En effet, elle permet d’accélérer les processus de programmation et facilite la création d’images, qu’il retravaille ensuite. Cette intégration de l’IA témoigne de sa volonté constante de repousser les limites de son métier et de renouveler ses pratiques créatives.

Un enseignement approfondi entre technique et création graphique

À l’ICAN, Nicolas Tilly enseigne dans plusieurs filières, notamment le Bachelor Web et Communication et le Mastère UX. Son expertise le mène également à intervenir dans la filière Jeu Vidéo pour dispenser des cours de direction artistique.

Son approche pédagogique et professionnelle se situe à l’intersection du design graphique et de la programmation technique. Ses cours, tels que le creative coding, fusionnent par exemple ces deux aspects. Les étudiants y apprennent à développer des sites web et des applications. Il aborde également des aspects plus visuels du design graphique, comme la composition, l’iconographie et la typographie.

Un exemple concret de ses enseignements est un récent cours sur les headers de sites internet. Ce cours destiné aux étudiants de la filière Web et Communication en 15 mois a permis d’explorer de nombreuses facettes du domaine numérique comme la 3D, le design graphique et l’animation. L’idée était de créer des expériences d’introduction engageantes pour les visiteurs de ces sites web. Les étudiants ont donc utilisé des librairies pour manipuler des objets 3D et créer des effets d’animation avancés. Ces cours illustrent parfaitement la combinaison de savoir-faire graphiques et techniques que les étudiants peuvent acquérir grâce à leur intervenant.

En tant que professionnel en activité dans le secteur du numérique Nicolas Tilly incarne une vision moderne et multidisciplinaire intéressante pour les étudiants. Son approche pédagogique à l’ICAN, qui marie technique et création graphique, prépare les étudiants à innover dans le secteur du design numérique.

En intégrant des technologies révolutionnaires comme l’intelligence artificielle et en s’appuyant sur une solide expertise, Nicolas Tilly inspire la prochaine génération de créateurs à acquérir diverses compétences et à explorer de nouvelles dimensions dans leurs projets.

Dans le cadre de sa 3^ème année de Bachelor en Animation 2D/3D, Yanis Sellali a réalisé un court métrage.

Découvrons ensemble « The Backrooms » son projet de fin d’études sur le thème du reflet.

Crédits : Yanis SELLALI, The Backrooms

Une histoire angoissante inspirée d’une légende urbaine

L’origine des Backrooms remonte à mai 2019, lorsque qu’une image accompagnée d’un texte a été postée sur le forum 4chan. Cette image montrait une salle vide éclairée par des néons avec des murs jaunâtres et une moquette. Elle lança ainsi une légende urbaine que chacun pouvait enrichir. Notre étudiant s’est approprié cette légende pour en faire une œuvre visuelle propre à son interprétation.

En effet, dans le court métrage, un jeune homme se réveille dans un réseau labyrinthique terrifiant, les Backrooms. Coincé dans cet espace mystérieux et inquiétant et traqué par des présences inconnues, il tente de s’échapper. Atteignant finalement le dernier niveau, il passe par un portail qui le ramène au monde réel. Cependant, il se rend compte que son histoire se réécrit continuellement, le piégeant ainsi dans une boucle sans fin.

Yanis explique que ce projet est né de son désir de créer une expérience immersive en 3D. Il fait donc le choix d’une vue subjective pour que le spectateur se mette dans la peau du personnage. S’inspirant des jeux vidéo d’horreur et des films comme “The Blair Witch Project” et “Cloverfield”, il vise à susciter des émotions fortes telles que la peur, le désespoir, l’angoisse et l’oppression. Les Backrooms, avec leur atmosphère mystérieuse et leurs entités néfastes, offrent un terrain idéal pour ce type de narration.

Les coulisses de la création : technique et ambiance

Pour créer une ambiance angoissante et terrifiante, notre étudiant de 3ème année a porté une attention particulière aux décors. Les textures des murs et des sols, ainsi que l’éclairage et les effets sonores ont été minutieusement réfléchi. La lumière joue un rôle essentiel pour renforcer l’atmosphère des Backrooms, avec des ampoules défectueuses, de la brume, des reflets d’eau et des ombres menaçantes. Les niveaux des Backrooms sont diversifiés. Chacun d’entre eux ayant une ambiance lumineuse distincte, allant de pièces sombres avec des lumières vacillantes à des couloirs obscurs sans issue apparente.

Le niveau 6 de l’animation est particulièrement marquant. Situé derrière une porte de sortie d’un long tunnel, il présente une vaste salle avec une architecture aléatoire et un escalator apparemment infini, symbolisant l’espoir d’une issue. Cependant, ce dernier niveau, clôt l’animation sur une note de mystère et de suspense. En effet, le personnage passe par un portail et se retrouve de nouveau dans la réalité, comme si les Backrooms était un reflet de celle-ci.

Des compétences diverses acquises à l’ICAN

The Backrooms est une œuvre qui captive par son esthétique immersive et son atmosphère oppressante. Yanis Sellali a réussi à transformer une légende urbaine en un court métrage transmettant des émotions fortes. Ce projet démontre non seulement la puissance de l’animation 3D pour raconter des histoires captivantes et produire des éléments visuels percutants, mais aussi le talent de nos étudiants, futurs professionnels du secteur.

En passant par la production, l’écriture d’un scénario, la modélisation 3D, l’ajout d’effets visuels (VFX) et le montage, le Bachelor Animation 2D/3D de l’ICAN permet d’avoir toutes les clés en main pour s’assurer une place dans l’industrie.

Si vous souhaitez en savoir plus sur ce projet et voir le résultat final, nous vous invitons à consulter le site Studio ICAN !

Le 12 juillet 2024, le Comité International Olympique (CIO) a marqué un tournant historique en annonçant l’organisation des premiers Jeux Olympiques de l’e-sport en 2025. En collaboration avec le Comité National Olympique (CNO) saoudien, cette initiative promet de transformer le paysage de l’e-sport. Elle offre, en effet, une plateforme prestigieuse et reconnue à l’échelle mondiale. Cet article explore les détails de cette annonce et ses implications pour l’avenir de l’e-sport.

Crédits : Roslan Rahman/AFP – Olympic Esports Week à Singapour, juin 2024

Un partenariat stratégique pour l’e-sport

Il a été annoncé que la première édition des Jeux Olympique de l’esport de 2025 aura lieu en Arabie Saoudite. Ce choix n’est pas anodin. Le pays compte, en effet, plus de 23 millions de joueurs et un fort soutien gouvernemental pour l’e-sport. Ce dernier, se positionne ainsi comme un hub mondial pour les compétitions de jeux vidéo. Thomas Bach, président du CIO, a souligné l’expertise du CNO saoudien, qui sera cruciale pour le succès de cet événement. Ce partenariat de 12 ans prévoit l’organisation régulière de ces Jeux, garantissant ainsi un développement de l’e-sport dans l’organisation olympique.

Les Jeux Olympiques de l’e-sport s’inscrit dans le cadre de la “Vision 2030” de l’Arabie saoudite, une initiative ambitieuse visant à diversifier l’économie et à moderniser la société. Depuis 2018, le Royaume a accueilli plus de 100 compétitions sportives internationales, renforçant sa position sur la scène sportive mondiale. Le développement du sport féminin, la multiplication des fédérations sportives et l’augmentation du taux de participation témoignent de cette transformation. Ces progrès illustrent l’engagement de l’Arabie saoudite à devenir un acteur clé dans le domaine de l’e-sport.

Les valeurs olympiques au cœur des Jeux de l’e-sport

Un aspect essentiel de ces Jeux Olympiques de l’e-sport sera la promotion des valeurs olympiques, notamment l’égalité des genres. La Princesse Reema Bandar Al-Saud, membre du CIO, a mis en avant l’importance de l’inclusion des femmes dans l’e-sport. Actuellement, près de la moitié des joueurs en Arabie saoudite sont des femmes. Des efforts considérables sont donc déployés pour assurer leur participation à tous les niveaux. Cette initiative permettra non seulement de célébrer les talents féminins dans l’e-sport, mais aussi de renforcer la représentation féminine dans les instances décisionnelles sportives.

Pour répondre aux spécificités des Jeux Olympiques de l’e-sport, le CIO prévoit de créer une structure organisationnelle distincte. Cette nouvelle entité sera séparée du modèle financier et logistique des Jeux Olympiques traditionnels. Cela permettra d’adopter une approche innovante pour gérer les défis uniques de l’e-sport. La sélection des titres de jeux, le processus de qualification des joueurs et la définition du calendrier de l’événement seront les premières étapes de cette organisation. Les Fédérations Internationales ayant déjà des versions électroniques de leurs sports seront les premières à intégrer ces Jeux. Le but principal étant d’organiser une compétition diversifiée de haut niveau.

Une initiative qui valorise le secteur du jeu vidéo

L’approbation des premiers JO de l’e-sport par le CIO marque une étape décisive dans la reconnaissance et la valorisation de l’e-sport à l’échelle mondiale. En s’associant avec l’Arabie saoudite, le CIO s’appuie sur un partenaire stratégique capable de promouvoir les valeurs olympiques et de soutenir le développement de la pratique de jeux vidéo compétitifs

Cet événement historique, prévu pour 2025, promet de célébrer les talents du monde entier et de donner un élan significatif à l’industrie de l’e-sport. Par ailleurs, l’annonce d’un tel évènement confirme que le jeu vidéo est un secteur porteur, pour lequel vous pouvez être formé grâce au Bachelor et au Mastère Game Design de l’ICAN.

L’UX research, ou user research, est une discipline essentielle dans le développement de produits et de services numériques. Elle permet de comprendre de manière approfondie les comportements, les attentes et les besoins des utilisateurs finaux.

Cet article explore l’importance de l’UX research et présente les principales méthodes utilisées pour recueillir et analyser les données utilisateur.

Crédits : Freepik

Qu’est-ce que l’UX Research et quel est son intérêt ?

Le succès d’un produit repose sur sa capacité à répondre aux besoins réels de ses utilisateurs. La recherche utilisateur permet d’atteindre cet objectif. En effet, elle offre une compréhension approfondie des comportements, des motivations et des attentes des utilisateurs.

L’objectif principal de l’UX research est d’améliorer l’expérience utilisateur. En recueillant des données précises sur les utilisateurs, les concepteurs peuvent identifier les points de friction et les opportunités d’amélioration. Des entretiens qualitatifs, peuvent par exemple mener les concepteurs à découvrir des frustrations spécifiques liées à l’utilisation d’un produit. En conséquence, il leur sera possible d’ajuster le design pour les atténuer.

Ce processus de recherche permet également de réduire considérablement les risques associés au développement de produits. Elle permet de tester des concepts et des prototypes avec de vrais utilisateurs avant le lancement. Ces tests permettent d’éviter des erreurs coûteuses. Par exemple, un test A/B peut révéler que la version B d’une interface augmente le taux de conversion de 20%, justifiant ainsi son adoption finale. De plus, en comprenant les véritables besoins des utilisateurs, les produits sont plus susceptibles de rencontrer un accueil favorable, augmentant ainsi les taux d’adoption et de satisfaction.

Quelles sont les méthodes clés pour une User Research efficace ?

Pour mener à bien une recherche utilisateur, il est crucial de maîtriser différentes méthodes de collecte et d’analyse de données. Voici les principales techniques utilisées par les experts UX :

Les méthodes qualitatives, telles que les entretiens individuels, les groupes de discussion et les observations directes, permettent de recueillir des insights précis sur les comportements et les motivations des utilisateurs. Par exemple, un entretien bien mené peut révéler des attentes implicites que les utilisateurs n’expriment pas toujours spontanément.

De même, les méthodes quantitatives comme les enquêtes et les analyses de données sont essentielles pour obtenir des statistiques sur les utilisateurs. Les tests A/B et l’analyse des données d’usage permettent de quantifier les comportements et d’identifier des tendances. Concrètement, une enquête de satisfaction peut montrer que 70% des utilisateurs trouvent une fonctionnalité spécifique difficile à utiliser. Ce résultat peut inciter les concepteurs à la retravailler.

Une fois les données recueillies, il est crucial de les analyser et de les synthétiser de manière claire et exploitable. Les personas, les user journey maps et les rapports détaillés sont des outils couramment utilisés pour communiquer les résultats de la recherche aux équipes de conception et de développement. Par exemple, une user journey map détaillant les étapes et les émotions de l’utilisateur peut mettre en lumière des moments critiques nécessitant une attention particulière.

La maîtrise de l’UX research est indispensable pour toute personne souhaitant exceller dans le domaine du design UX. À l’ICAN, nos formations en Bachelor Web Design et en Mastère UX Design intègrent des modules approfondis sur les méthodologies de recherche utilisateur. Nos étudiants y développent les compétences nécessaires pour mener des recherches efficaces et créer des produits réellement centrés sur l’utilisateur.

Rejoignez nos programmes pour devenir un expert du web et façonner l’avenir du design numérique.

Aerie est un platformer 3D à la troisième personne créé par Guillaume QUERTAIN, Nathan MODESTE, Jonathan GAUTREAU et Marius MACHERET, 4 étudiants de 2^ème année en Bachelor Game Design à l’ICAN.

Ce jeu d’exploration immersif invite les joueurs à se projeter d’île en île grâce à des anneaux et des trampolines. Le but est de maîtriser les mouvements et les déplacements du personnage pour créer un univers unique.

Explorons ensemble les détails de ce jeu d’exception.

Un gameplay et des mécaniques de jeu uniques

L’un des objectifs principaux d’Aerie est de procurer une satisfaction de mouvement aux joueurs. Le jeu mise sur des mécaniques complexes qui, une fois maîtrisées, deviennent fluides et gratifiantes.

Au cœur de l’expérience de jeu, on retrouve les rings et les bumpers. Les rings aussi appelés anneaux sont bidirectionnels et absorbe l’avatar pour le rediriger et le propulser à une vitesse supérieure. Les bumpers, quant à eux, fonctionnent comme un trampoline. Ils modifient la trajectoire du joueur en le faisant rebondir selon l’angle de collision du joueur avec celui-ci. Ces éléments interactifs permettent de créer des structures variées et des comportements spécifiques. Ils incitent ainsi les joueurs à développer leurs propres techniques de jeu.

Aerie offre donc une liberté d’action remarquable, limitant le moins possible les actions des joueurs. La profondeur de gameplay permet de multiples styles de jeu, adaptés à tous les niveaux de compétence. À travers des playtests rigoureux, les développeurs ont découvert des comportements émergents des mécaniques de jeu qui rendent tout de même chaque partie unique et personnelle.

Des compétences techniques et artistiques abouties

Le développement d’Aerie a été mené par une équipe passionnée et polyvalente d’étudiants de l’ICAN. Ils ont su mettre à profit leurs compétences techniques et créatives en tant que game designer, programmeur, level designer, IU designer ou encore sound designer pour créer une expérience de jeu unique, axée sur la liberté d’action et la satisfaction de mouvement.

A travers chacun de leur rôle, ils ont pu apporter une vision globale et technique du projet, contribuer à l’esthétique et à la conception des mécanismes de jeu, enrichir l’expérience sonore du jeu ou encore améliorer l’interactivité et l’interface utilisateur.

Aerie se distingue par son world design centré autour d’une grande tour. Ceci encourage les joueurs à explorer et à adapter leur environnement. La direction artistique visuelle et sonore crée un monde sans égal, poussant à l’exploration et à l’utilisation créative du terrain.

Par ailleurs, le personnage principal, le Tiny Traveller, est minuscule par rapport au monde qui l’entoure. Cette différence de taille oblige les joueurs à utiliser les mécaniques de jeu pour se déplacer efficacement. Chaque mouvement du personnage devient maîtrisable grâce aux différents outils disponibles.

Le jeu Aerie, créé par nos étudiants en 2^ème année de Bachelor Game Design, est bien plus qu’un simple platformer 3D. Il offre une aventure immersive où chaque joueur peut explorer, adapter et maîtriser un monde vaste et complexe. Grâce à des mécaniques de mouvement innovantes et une direction artistique inspirante, Aerie promet de captiver et de défier les joueurs de tous niveaux. Ce jeu est une véritable vitrine du talent et de la créativité des étudiants de l’ICAN, marquant une étape importante dans leur parcours académique et professionnel.

Pour en savoir plus sur le projet Aerie et y jouer, consultez le site Studio ICAN.

La motion capture, ou capture de mouvement, est une technologie qui révolutionne le monde du divertissement et plus spécifiquement les industries du jeu vidéo et du cinéma. Elle permet de capturer des mouvements humains pour les appliquer à des personnages virtuels pour créer des animations réalistes. Cette technique offre ainsi la possibilité de créer des personnages virtuels dont les mouvements et expressions se rapprochent du réalisme.

La motion capture : un atout important dans les jeux vidéo et l’animation

La motion capture joue un rôle crucial dans le développement de jeux vidéo réalistes. Elle permet, en effet, de capturer les mouvements des acteurs à l’aide de capteurs pour créer des animations fluides et naturelles. Des titres comme “The Last of Us Part II” et “Red Dead Redemption 2” utilisent cette technologie pour offrir une immersion plus profonde aux joueurs, transmettant efficacement des émotions et rendant chaque action authentique. En plus de l’aspect visuel, la motion capture améliore le gameplay en rendant les interactions entre personnages plus crédibles et dynamiques. Les scènes d’action, les combats et les dialogues gagnent en profondeur, enrichissant la narration et l’émotion ressentie par le joueur. Cette technologie permet ainsi de créer des expériences interactives et engageantes, rendant les jeux plus captivants.

Dans le domaine de l’animation, la motion capture est également utilisée pour donner vie à des personnages virtuels. Les films d’animation et les séries télévisées exploitent cette technologie pour créer des mouvements réalistes, comme en témoignent des films tels qu'”Avatar” et “Le Roi Lion”. Des capteurs placés sur le corps des acteurs enregistrent les mouvements, transférés ensuite à un logiciel de traitement pour générer des animations fluides et réalistes. Les caméras infrarouges et les algorithmes avancés assurent une précision maximale, essentielle pour une immersion totale du spectateur. En combinant des mouvements humains avec des éléments virtuels, la motion capture ouvre de nouvelles possibilités créatives pour les animateurs. Elle favorise ainsi l’innovation et repousse les limites de l’expression artistique dans l’animation.

Quelles sont les différentes techniques de motion capture ?

Il existe plusieurs techniques pour réaliser de la motion capture. Chacune ayant ses spécificités et applications adaptées. En voici quelques-unes :

La capture optique :

Cette technique utilise des caméras infrarouges pour suivre des marqueurs réfléchissants placés sur le sujet. C’est la méthode la plus courante et offre une grande précision pour les mouvements complexes. Sans marqueurs, cette technique utilise des algorithmes avancés de vision par ordinateur pour suivre les mouvements. Cette méthode est plus flexible mais peut s’avérer moins précise dans certains contextes.

La capture inertielle ou gyroscopique :

Elle utilise des capteurs inertiels tels que des gyroscopes et des accéléromètres attachés au corps du sujet. Cette technique est portable et ne nécessite pas de caméras. Elle permet donc des captures en extérieur et dans des environnements non contrôlés, en temps réel.

La capture magnétique :

Ce type de capture fait usage de capteurs électromagnétiques et de champs magnétiques pour déterminer les positions et orientations des capteurs. Bien que cette méthode puisse être précise, elle est sensible aux interférences magnétiques et nécessite un environnement contrôlé.

La capture mécanique :

Elle emploie des exosquelettes ou des dispositifs mécaniques attachés aux articulations du sujet pour mesurer les mouvements. Cette technique très précise et fiable, surtout pour des mouvements répétitifs et contrôlés est beaucoup utilisée dans les milieux du divertissement.

La capture acoustique :

Elle utilise des ondes sonores pour déterminer les positions des capteurs. Cette méthode est moins courante et peut être limitée par des interférences acoustiques et des obstacles physiques.

La capture par vision profonde :

Cette méthode utilise des caméras de profondeur pour capturer les mouvements en 3D. Elle est utile pour les applications grand public et les environnements interactifs.

Chaque technique de motion capture a ses avantages et inconvénients, et le choix de la méthode dépend des exigences spécifiques du projet, comme la précision requise, le budget, l’environnement de capture et les contraintes de mobilité.

En somme, la motion capture est une technologie indispensable dans les domaines du jeu vidéo et de l’animation. Les différentes méthodes de capture existantes offrent la possibilité d’enrichir l’aspect réaliste des jeux vidéo et des animations pour les rendre plus authentiques et plus poussés.

À l’ICAN, les formations en spécialisation Game Art et Animation 2D/3D permettent aux étudiants d’acquérir les bases du jeu vidéo et de l’animation mais aussi de comprendre l’intérêt des technologies de pointes et des méthodes spécifiques propres à ces industries comme la motion capture.

Dans le monde de l’animation, les possibilités sont infinies. Revisiter des classiques du cinéma sous une nouvelle forme permet de redécouvrir des œuvres emblématiques avec un regard neuf. C’est ce que Loane PEYRAT, Lorie FLAUBERT, et Rei WOIRGARD, étudiants en 2^ème année de Bachelor Animation 2D/3D à l’ICAN ont entrepris avec leur projet d’animation en 2D du célèbre film “Thelma & Louise”, réalisé par Ridley Scott en 1991. Ce road movie, qui explore la libération personnelle et la rébellion contre les normes sociales, trouve une nouvelle vie à travers un shortcut expressif.

Un shortcut en animation 2D du film Thelma & Louise

Dans le cadre de leur projet de fin d’année, les étudiants de 2^ème année en Animation 2D/3D ont dû réaliser un shortcut en s’appuyant sur un film choisi dans une liste imposée.

Le groupe composé de Loane PEYRAT, Lorie FLAUBERT et Rei WOIRGARD a choisi de travailler sur le film « Thelma & Louise » de Ridley Scott.

L’animation 2D réalisée par les étudiantes apporte une dimension artistique unique à l’histoire de Thelma et Louise. Ces deux amies, frustrées par leur quotidien monotone, décident de s’évader pour un week-end qui, dès leur premier arrêt, prendra une tournure dramatique. En se concentrant sur les personnages principaux, nos étudiantes en animation se sont efforcées de retracer l’histoire du début à la fin en quelques plans, tout en mettant en lumière l’évolution de leur relation et leur quête de liberté.

Des techniques d’animation au point

Pour donner vie à cette nouvelle version de “Thelma & Louise”, l’équipe a opté pour la technique de la rotoscopie. Cette méthode consiste à dessiner ou peindre directement sur des images filmées en live-action, permettant ainsi de conserver la fluidité et le réalisme des mouvements originaux. La rotoscopie, bien que laborieuse, offre un résultat dynamique et immersif, idéal pour capturer l’intensité émotionnelle et les nuances des performances originales des actrices Geena Davis et Susan Sarandon.

Par ailleurs, l’attention portée à la mise en scène et aux personnages est cruciale dans cette adaptation animée. Thelma, une femme douce et timide au début, se transforme au fil de l’histoire en une personne audacieuse et résiliente. Louise, plus dure et cynique au départ, révèle une profondeur émotionnelle et une vulnérabilité au contact de Thelma. Cette évolution est capturée avec soin à travers les animations expressives et les décors stylisés, créant un contraste saisissant entre leurs états émotionnels du début à la fin du shortcut.

Un extrait du storyboard, disponible sur Studio ICAN montre comment chaque scène a été planifiée avec précision. Chaque mouvement, expression et interaction a donc été soigneusement réfléchi pour refléter les thèmes centraux du film : la liberté, la solidarité féminine, et la rébellion contre les injustices.

Les décors jouent également un rôle essentiel dans cette animation, transportant le spectateur dans les paysages variés du road trip de Thelma et Louise. Les tests de décors montrent une palette de couleurs vibrantes et une attention aux détails qui renforcent l’atmosphère du voyage et les états émotionnels des personnages.

Une réinvention d’un classique du cinéma

L’adaptation en animation 2D de “Thelma & Louise” par Loane PEYRAT, Lorie FLAUBERT, et Rei WOIRGARD est un shortcut audacieux qui rend hommage à l’œuvre originale tout en apportant une dimension artistique à l’histoire. Grâce à leurs compétences en animation, ce projet a su capturer l’essence du film tout en offrant une expérience visuelle et émotionnelle nouvelle. Pour les fans de longue date comme pour les nouveaux spectateurs, cette animation est une invitation à redécouvrir le voyage emblématique de Thelma et Louise sous un angle innovant et captivant.

Pour en savoir plus sur le projet et visualiser le court-métrage, consultez le site Studio ICAN.

À l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes, Women in Games France a publié un état des lieux sur la représentation des femmes et des personnes de genre minorisé dans le jeu vidéo en France.

Quelles sont les informations à retenir ? La réponse dans cet article.

Représentation des femmes dans le jeu vidéo : état des lieux et perspectives

Depuis 2018, nous constatons une sous-représentation des femmes dans les métiers techniques liés par exemple à la programmation ou encore à la data. Une information qui se reflète aussi dans la répartition des femmes dans les formations de jeux vidéo en France, qui ne représente que 26,7% des étudiants et dans les studios, qui ne représentait que 24% des effectifs en France en 2023. Néanmoins, une progression légère mais constante de la femme dans le monde du jeu vidéo est visible depuis 2019. En effet, les statistiques révèlent qu’en 2014 les femmes représentait seulement 10,6% des effectifs. De la même façon, une participation de plus en plus significative des femmes dans le domaine est constatable : 67% des femmes en France jouent aux jeux vidéo, représentant environ 18,3 millions de personnes. De plus, les femmes représentent 48% des personnes jouant au moins une fois par semaine, et chez les plus jeunes âgées de 16 à 30 ans, 56% affirment jouer aux jeux vidéo quotidiennement. Cependant, malgré cette forte présence, seulement 15% des femmes se considèrent comme “gameuses”.

Ce sentiment d’illégitimité ressenti par de nombreuses joueuses se justifie en en grande partie par leur faible représentation dans l’industrie du jeu vidéo et dans les jeux en eux-mêmes. En effet, seul 27,7% des personnages de jeux sont des femmes et 5,8% sont non-binaires ou d’un genre non spécifié contre 66,5% de personnages masculins. Un écart considérable qui se reflète également dans la part de dialogue prononcées par les personnages féminins, car seulement 3 jeux sur 50 contiennent plus de 50% de dialogues prononcés par des femmes. Par ailleurs, seul 5% des jeux ont un cast exclusivement féminin.

Le Geena Davis Institute, une organisation américaine œuvrant pour une représentation éthiques des femmes dans les médias a bien résumé cette problématique avec son slogan : “If she can see it, she can be it.” En effet, la visibilité des femmes dans les jeux vidéo est encore insuffisante, contribuant à leur sentiment d’exclusion. Selon une enquête, 79% des femmes estiment que les personnages féminins dans les jeux vidéo ne les représentent pas de manière fidèle. 48% d’entre elles disent ne pas trouver de personnages féminins « puissants » et 35% affirment que les corps des personnages féminins ne sont pas représentatifs, leur donnant ainsi moins confiance en elles.

Défis rencontrés et initiatives mises en place

Comme mentionnée précédemment, les femmes et les personnes non-binaires représentent une part mineure des employés de studios de production. Cependant, les perspectives sont prometteuses, avec 26,7% des étudiants dans les formations de jeu vidéo étant des femmes. Un chiffre qui pourrait augmenter dans les années à venir et la représentation des femmes dans les jeux avec.

En effet, de nombreuses initiatives de sensibilisation ont été mises en place pour encourager les femmes à porter de l’intérêt au secteur. De nombreuses entreprises de l’industrie ont par exemple mis en place des actions pour sensibiliser leurs employés au sexisme et promouvoir l’égalité. En 2023, 95% des entreprises ont initié des actions de sensibilisation, avec 65,5% d’entre elles favorisant l’égalité hommes-femmes. Les écoles de jeu vidéo participent également à ces efforts, avec deux tiers d’entre elles créant des initiatives concrètes pour recruter des étudiantes.

Le domaine du streaming et de l’e-sport, encore largement dominé par les hommes se voit être un centre d’intérêt grandissant pour les femmes qui en sont de plus en plus consommatrices, avec 65% d’entre elles étant des gameuses qui regardent des streamers chaque semaine. Néanmoins, sur Twitch, seulement 11,6% des créateurs de contenu sont des femmes et aucune d’entre elles ne figurent parmi le top 10 des chaînes les plus streamées.  Dans l’e-sport, bien que les femmes représentent 52% des joueurs potentiels de jeux compétitifs, elles ne constituent que 7% des e-sportifs amateurs. Des efforts sont donc encore à mener à ce niveau.

Par ailleurs, les joueuses doivent souvent faire face à des environnements hostiles en ligne. En France, 40% des femmes rapportent des situations de harcèlement en jouant en ligne. De plus, 60% des hommes adhèrent à des stéréotypes sexistes, exacerbant le climat toxique pour les femmes dans le gaming. En conséquence, de nombreuses joueuses adoptent des stratégies d’évitement ou de dissimulation pour éviter les remarques sexistes et les comportements discriminatoires.

Pour combattre ces inégalités, plusieurs associations comme Stream’her, Game’her, Afrogameuses, et le Projet AWR travaillent à intégrer davantage de personnes de genres minorisés dans la culture du gaming et du streaming. Women in Games France mène également diverses actions pour améliorer la diversité et l’inclusion dans le secteur, notamment en offrant du soutien au développement de carrière et en valorisant les parcours des femmes dans l’industrie.

Malgré les progrès réalisés dans la représentation des femmes dans le jeu vidéo, il reste encore beaucoup à faire pour atteindre une véritable égalité. Les initiatives de sensibilisation et de soutien sont essentielles pour encourager davantage de femmes à s’investir dans ce domaine, que ce soit en tant que joueuses, créatrices de contenu ou professionnelles de l’industrie. En poursuivant ces efforts, l’industrie du jeu vidéo peut devenir un espace plus inclusif et équitable pour tous.

C’est pourquoi l’ICAN, établissement privé d’enseignement supérieur propose des formations en Game Design accessibles à tous et favorisant l’équité de genre.